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Oui désolé, j'aurais dû être des premiers à répondre à cette question
Tout comme co2, je ne remarque aucune différence significative ... même si je suis loin d'avoir l'oreille aussi acérée en matière de « restauration » sonore ...

Merci de ce retour. Je n'irai donc pas violenter le vendeur qui m'a suggéré cet achat

Bonjour, je réponds à la demande de mah : "Par ailleurs, mon système de numérisation ayant rendu l'âme, j'ai changé ma manière de procéder. Merci de me signaler si la qualité du nouveau est suffisante."


J'écoute délibérément un enregistrement que je connais (le concerto pour violon de Dvorak) et je ne constate pas de changement de qualité par rapport aux numérisations précédentes.


A part ça, même si l’œuvre est surabondamment servie, c'est vraiment une version superbe !


Musicalement,
l'obsédé des incunables

Bonjour.


Peu de choses à dire sur la nouvelle playlist, sauf pour remercier chaleureusement une aide souhaitant rester anonyme à laquelle je dois les fichiers Lalo, Chopin et Schumann.

Depuis l'an dernier, juillet et août sont passés de "c'est l'été, c'est le mois des raretés" à "c'est l'été, révisons nos classiques". Ça ne rime plus mais il me parait plus cohérent de ne pas proposer des oeuvres peu fréquentes à découvrir quand certains de nos membres sont au loin. Ce mois-ci sent donc un peu sa compilation "les grands classiques que vous aimez" (toutes proportions gardés quand même, il n'y a même pas l'Adagio d'Albinoni). Je vous ai glissé quelques interprétation rares (Martinon dans Falla, le Concert de Chausson), des classiques reconnus par les apifious comme dirait Tubeuf (Lalo) et des enregistrements célèbres (Tosca). Chacun est libre de donner son avis sur le programme pour dire dans sens je dois tirer l'été, vers les classiques ou vers les raretés.

Par ailleurs, mon système de numérisation ayant rendu l'âme, j'ai changé ma manière de procéder. Merci de me signaler si la qualité du nouveau est suffisante.

Bonne écoute


P.S.: Je ne connaissais pas cette Tosca viennoise. J'aime bien le petit rugissement "münchien" de Karajan aiguillonnant ses troupes dans le bref silence qui suit les accords introductifs. Le K. était donc un être humain après tout

Je me risquerais à dire que van Beinum etait un 'bon' chef et peut-être un peu plus (trop tôt disparu, selon la formule consacrée), et le Concertgebouw un pas mauvais orchestre (le LPO et le LAPO non plus, du reste).

Miam!

(Je ne connais que Debussy par van Beinum, c'est magnifique, vraiment)

(si ça se trouve, van Beinum était un bon chef, et son grand orchestre un bon orchestre)

Playlist du mois de juillet 2019

Bonjour.

• Debussy: La mer - Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam, Eduard van Beinum (1957)
  

• Debussy: Nocturnes - Femmes du Collegium Musicum d'Amsterdam, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam, Eduard van Beinum (1957)
  

• Schumann: Carnaval Op.9 - Roger Cornman, piano (1956)
  

• Vivaldi: Concertos pour flûte, cordes et continuo Op.10 - Severino Gazzeloni, I Musici (1968)
  

• Falla: L'amour sorcier - Corinne Vozza, contralto; Orchestre des Concerts Lamoureux, Jean Martinon (1955)
  

• Falla: Nuits dans les jardins d'Espagne - Eduardo del Pueyo, piano; Orchestre des Concerts Lamoureux, Jean Martinon (1955)
  

• Chausson: Concert Op.21 pour violon, piano et quatuor à cordes - John Corigliano, Ralph Votapek, The International Solists String Quartet (1967)
  

• Dvorak: Concerto pour violon et orchestre Op.53 - Nathan Milstein, Orchestre Symphonique de Minneapolis, Antal Dorati (1951)
  

• Chopin: Valses - Sondra Bianca, piano (1956-1957)
  

• Brahms: Sonate pour violoncelle et piano N°2 Op.99 - Henri Honegger, Noel Lee (1962)
  

• Mozart: Concerto pour piano N°17 K.453 - Menahem Pressler, Orchestre de chambre de Vienne, Wilfried Boettcher (1967)
  

• Mozart: Concerto pour piano N°24 K.491 - Menahem Pressler, Orchestre de chambre de Vienne, Wilfried Boettcher (1967)
  

• Lalo: Symphonie Espagnole Op.21 - Aaron Rosand, violon; Orchestre Symphonique de la SWR de Baden-Baden, Tibor Szoke (1960)
  

• Puccini: Tosca - Leontine Price (Floria Tosca), Giuseppe Di Stefano (Mario Cavaradossi), Giuseppe Taddei (Baron Scarpia), Carlo Cava (Cesare Angelotti), Fernando Corena (Le sacristain), Piero Di Palma (Spoletta); Choeur de l'Opéra d'Etat de Vienne, Orchestre Philharmonique de Vienne, Herbert von Karajan (1962)
  
  
  
  
  

Bonne écoute,