Mais oui, vous savez de science certaine que, pour me féliciter de ce fil comme l'a fait sud, il faut être un imbécile. Et à quoi pensait Philippe quand il m'a récemment remercié pour "cet article" ?
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Dieu me donne une amphore : un vers aux belles lignes
Leur bien premièrement, et puis le mal d'autrui.
Dont ils sont les maris, et le Turc l'adultere.
Valse mélancolique et langoureux vertige
https://www.youtube.com/watch?v=mgCukvmi_4g
https://www.youtube.com/watch?v=IsH0dRVxJHc
Un doux nenni, avec un doux sourire
Au demeurant, le meilleur fils du monde
A commencé de neiger sur ma tête
Winds of May, that dance on the sea
Petite sélection aléatoire, il y en a pas mal d'autres versions
Karol Szymanowsky (1882-1937)
https://www.youtube.com/watch?v=Y2gzx3wI-bg
Geoffrey Molyneux Palmer (1882-1957)
https://www.youtube.com/watch?v=mAVdpdoH7T0
Luciano Berio (1925-2003)
https://www.youtube.com/watch?v=EN50J3URXLQ
https://www.youtube.com/watch?v=SeWD71OvOiU
Bernard Rands (1934- )
https://www.youtube.com/watch?v=tQVGBW1JGfk
Alfred Heller (1931- )
https://www.youtube.com/watch?v=UC9d14cslqM
Martyn Bates (1960- )
https://www.youtube.com/watch?v=OiKzQqTYT3k
Le début du morceau de Berio me fait penser au passage des " Variations on a Original Theme" (1936) de Gordon Jacob qui, ici :
https://www.youtube.com/watch?v=xTlpPDbbYaQ
(Gordon Jacob - Variations on a Original Theme)
BBC PO/ Vernon Handley
commence à 14:00.
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Par opportunisme saisonnier, le mois de mai et la danse des vents sur la mer m’avaient tenté …
Deux autres vers des deux autres pièces de ce recueil que Berio a mises en musique :
Strings in the earth and air
https://www.youtube.com/watch?v=NP40Iz4PSOI
All day I hear the noise of waters
https://www.youtube.com/watch?v=E-F25xdJ8tY
Du même recueil, une autre pièce dont j’aime bien le texte :
I hear an army charging upon the land
Samuel Barber (1910-1981)
(et Sam Ramey !)
(tiré des ‘3 Songs’ op. 10 sur 2 autres poèmes du recueil)
https://www.youtube.com/watch?v=FTonj_r0KIY
David Rossow (1975- )
https://www.youtube.com/watch?v=3gQ04UsMgQA
Et tous ces lieux communs de morale lubrique
L'hiver, saison de l'art serein, l'hiver lucide
Et son corps odorant est nourri de secrets
L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
Oh ... le regard des statues ...
Por una mirada, un mundo
Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire