Et de son large dos morguant les spectateurs
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Et de son large dos morguant les spectateurs
"Qu'un long regard sur le calme des dieux.
Jusqu'au jour où l'un vint voir l'autre, et le tapa
tel palpite l’éclair aux nuits de messidor.
Si nous pouvions passer les bleus septentrions
Et les roseaux jaseurs et les fleurs nues des vignes
Sur la nappe frugale et les rideaux de serge
Quand j'ai dit que TheFierceRabbit ne connaissait ni ne lisait ni n'aimait La Fontaine, c'était parce qu'il venait de pontifier que (alerte cuistre : "pontifier" n'est pas transitif dans ce sens) La Fontaine n'aurait jamais fait rimer "pa" avec "la", ce qu'il est impossible de professer dès qu'on connaît un peu La Fontaine. D'autre part, dois-je rappeler que ce n'est pas moi qui ai cité Du Bellay de travers ? Après avoir fait, à propos de votre citation inexacte de Mallarmé, une première allusion au pédant qui est la plaie de ce forum, j'ai trouvé qu'insister me ferait lui ressembler.
Ah oui, effectivement, avec le fil ‘Tubeuf’ Il se réveille ici aussi.
Et ici comme là, pour resservir les mêmes vieilleries.
On s’en fût fort bien passé, mais puisque c’est là, qu’en peut-on faire ?
Quitte à se répéter, c’est rengaine - mais selon l’humeur, ce peut être «*amusant*».
Si certains membres d’ici veulent profiter de l’aubaine pour rire un peu ...
En tout cas lire La Fontaine est une chose. Le connaître peut en découler. L'aimer, le comprendre est tout autre chose. La Fontaine est plutôt modeste, tout à fait bienveillant, en somme, et il a de l'humour.
La Fontaine, qui a écrit "Et flatteurs d'applaudir" ne se serait sans doute pas laissé flagorner comme vous par TheFierceRabbit. Il n'y a d'ailleurs pas que La Fontaine à qui cela m'a fait penser :
L'ami Bonneau d'un gros rire applaudit
À son bon roi qui montre de l'esprit. (Voltaire)
Marrant que vous vous soyez senti visé...