Où cesse le baiser le chant jaillit
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Où cesse le baiser le chant jaillit
Et pour finir enfin par un trait de satyre
Lucile le premier osa la faire voir.
Le vent d'hiver souffle en avril ...
Et aussi en octobre :
Et quand octobre souffle, émondeur des vieux arbres
(...)
Ils sentent s'égoutter les neiges de l'hiver
IP
En fait il s'agissait surtout d'une sorte d'« hommage » au chanteur Christophe, décédé le 16 avril. Voyez ici, vers 1:19 :
https://www.youtube.com/watch?v=OFCEq1FkbII
Mugissement des bœufs, au temps du doux Virgile
Je vais tricher, il y a un peu plus qu'un vers
...
[...] se fixe
De scintillations sitôt le septuor
Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique
Et qui n'ont point connu la douceur de pleurer !
(Le second vers semble avoir été plagié par un sermonnaire : "qui n'ont jamais connu la douceur de pleurer")
Je sais que ce vers a déjà été proposé mais c'est l'automne, le temps s'y prête, et ce vers est magnifique
Et quand octobre souffle, émondeur des vieux arbres
Mille feuilles frissonnent ; l'automne bruit, et la rosée se fige
Le pré est vénéneux mais joli en automne
Cyprès, fuseaux de nuit tendus vers la lumière
La lune a reparu, souveraine du songe
laquelle (la fontaine ou la femme) pleurait
Ô, les rais du soleil à travers l'or des feuilles
Sources que réunit l'espoir d'être un seul fleuve
Le cantique qu'un merle égrène dans l'espace
Un Christ empistolé tout noirci de fumée
(Curieux : l'auteur de ce vers n'a pas eu le même sort que Samuel Paty.)
Que m’amie a de lunes en la tête.
L’arbitre des élégances tous azimuts, mètre-étalon autoproclamé de la Confrérie Générale du Bongoux et Grand Maître Suprême de l’Ordre Universel de Lacaux-Neurry serait-il pris en défaut et en flagrant délit d’incompétence ès poésies ? Diable diable, où va-t-on, alors ...