On parle à côté de l'intérêt ou de l'absence d'intérêt des textes mis en musique par Mahler. Cette discussion mérite, je trouve, de devenir autonome.
Donc voici ; et en fait, plus encore que de l'intérêt intrinsèque de tel ou tel texte, on pourrait discuter de l'adéquation de la musique à un texte, ou non.
Un bel exemple, à mes oreilles, d'inadéquation, avec pourtant une belle musique et un beau texte (sans que je pense que ce soit le sommet de l'histoire de la musique, hein), la deuxième strophe du Stabat Mater de Rossini :
Cuius animam gementem,
contristatam et dolentem,
pertransiuit gladius.
(une épée a transpercé son âme gémissante, attristée et souffrante).

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