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Discussion: Quinze que j’en pênse – Ravel et son Bolero Démêlés

  1. #1
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    Cool Quinze que j’en pênse – Ravel et son Bolero Démêlés


    Voir Aussi : Oeuvres pour piano de Maurice Ravel

    Pour ma sélection souvenir de novembre, je vous propose de ré-écouter mon hommage Ravel de l’an dernier. Cet hommage, faisant partie d’une série dédiée aux disparus de 1937 (dont Gershwin, Widor et Vierne), prend une ampleur différente suite à un reportage que j’ai entendu en baladodiffusion plus tôt cette année – on y reviendra plus loin.

    Selon l’opinion partagée par la plupart des mélomanes, Maurice Ravel compte parmi les compositeurs les plus importants et les plus influents du début du XXe siècle. Bien qu'il soit souvent lié avec Claude Debussy comme un impressionniste et que certaines de leurs œuvres ont une ressemblance en surface (e.g., les quatuors), Ravel possède une voix indépendante qui est issue de son amour d'une large variété de styles, y compris la musique baroque française, Bach, Mozart, Chopin, traditions folkloriques espagnoles, le jazz et le blues américain. Son œuvre n'est pas aussi abondante que celle de certains de ses contemporains, mais ses compositions sont méticuleusement et délicieusement conçues. Il était particulièrement doué en tant qu’orchestrateur, un domaine dans lequel il reste inégalé.

    L’an dernier, j’ai proposé dans le cadre de ma série Jadis sur Internet un large échantillon de la musique pour piano de Ravel (hyperlien ci-haut). Ravel faisait souvent appel à des thèmes particuliers dans ses compositions – entre eux, on note la danse et les choses anciennes. Ses valses nobles et sentimentales intègrent ces deux concepts. Plus tard, Ravel reprendra les valses nobles en version pour orchestre – un traitemet qu’il offrira à beaucoup de ses œuvres pour piano. Son Menuet Antique est un autre exemple d’orchestration dans le même moule.

    Tzigane, une oeuvre casse-cou pour violoniste avec son très long solo d'introduction est soit présenté avec piano (version de chambre) ou orchestre, et c'est cette dernière version qui fait le montage.

    En 1928, Ravel fait une tournée triomphale en Amérique du Nord, où il rencontre Gershwin et aura l' occasion d'élargir son exposition au jazz. Le Concerto pour piano en sol majeur montre l'influence de ce nouveau genre.

    Pour clore le montage , sans doute l’œuvre-fétiche du compositeur - Boléro . Ravel l’achevé en 1928 à l'âge de 53 ans. Boléro alterne entre deux principaux thèmes mélodiques, en répétant la paire huit fois sur une partition de plus de 340 mesures, en modulant volume et couches instrumentales. En parallèle, la pièce tient méthodiquement à deux lignes simples de basse staccato. C'est un exercice compulsif dont la construction reste inchangée jusqu'à la 326e mesure, avec un crescendo inoubliable. Ravel dira que Boléro est un "morceau pour orchestre sans musique".

    La plupart des notes biographiques en ligne parlent des dernières années de Ravel comme troublées par les séquelles neurologiques d’un accident d’automobile, minant sa mémoire et sa capacité de communiquer. Il meurt suite à un traitement chirurgical. Toutefois, un récent reportage indique que cette version des évènements ne serait pas tout à fait exacte. En fait, Boléro serait un emportant indice d’une condition neurologique latente. chex Ravel ainsi que chez de nombreux artistes.

    Anne Adams , biologiste moléculaire devenue peintre, est obsédée par la peinture. Elle ne fait que peindre et peindre. Elle peint des tableaux de bâtiments, puis une série de peintures impliquant des fraises, et puis ... "Boléro". À un certain point, Anne est obsédée par la célèbre composition de Ravel et décide de créer une impression visuelle élabporée du morceau, qu’elle apppelle Unraveling Bolero (trad. Lit., Démêler Bolero), qui forme et un jeu de mots et une description éloquente du produit final:



    Peu de temps après, Mme Adams lentement mais sûrement montre les signes d’une forme de démence progressive et implacable (l’aphasie primaire progressive). Selon un article de chercheurs cliniciens de l'Université de Californie à San Francisco, l’aphasie de Ravel pourrait avoir commencé, indétectée, à l'époque de la composition de Boléro, alors que son écriture commence à se détériorer. Dans un premier temps on remarque des erreurs d'orthographe dans des partitions musicales et des lettres, et les symptômes sont évidents en 1931. Difficultés dans le discours, perte de éléments langagiers et l'arrêt de la production suite à sa frustration. Ravel serait décédé suite aux complications d’un traitement expérimental en 1937.

    Voici l’hyperlien au reportage (en anglais) qui parlke du cas de Mme Adams et fait le lien entre sa condition et celle qui aurait affligé Ravel:

    http://www.radiolab.org/story/217340-unraveling-bolero/

    Comme Copland et tant d'autres compositeurs américains de sa génération, David Diamond se rend à Paris pour étudier et absorber les dernières tendances artistiques. C’est là qu’en 1928, il rencontre Maurice Ravel, au faîte de sa réputation. Diamond se liera d'amitié avec le compositeur français et son Elégie à la mémoire de Maurice Ravel se veut l'expression de son chagrin suite à cette grande perte.


    DETAILS



    David DIAMOND (1915-2005)
    Elegy in Memory of Maurice Ravel (1938-39)
    Seattle Symphony Orchestra, Gerard Schwarz, direction

    Maurice RAVEL (1875-1937)
    Valses nobles et sentimentales pour piano, MR 61
    Francine Kay, piano

    Tzigane, rhapsodie de concert pour violon et orchestre, MR 76
    Itzhak Perlman, violin
    Orchestre de Paris, Jean Martinon, direction

    Menuet antique, MR 7
    (Orcjestration de Ravel, 1929)
    Orchestre Symphonique de Montréal, Charles Dutoit, direction

    Concerto, en sol majeur, pour piano et orchestre, MR 83
    Pascal Rogé, piano
    Orchestre Symphonique de Montréal, Charles Dutoit, direction

    Boléro, MR 81
    Orchestre Symphonique de Montréal, Charles Dutoit, direction

  2. #2
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    En février 2012, sur le fil
    http://www.mqcd-musique-classique.co...d.php?p=108364
    j'avais signalé une ressemblance assez extraordinaire entre le Boléro et la "Danse de Carmen" qui fait partie d'une musique d'Ernesto Halffter datant de 1926 (deux ans avant le Boléro). Voyez ici :
    [/URL]
    (c'est la première partie). Cette ressemblance semble n'être notée par aucun musicographe, en tout cas Google ne trouve rien de tel. Je me permets de remettre cette question sur le tapis en espérant qu'après 21 mois, quelqu'un pourrait avoir connaissance d'une pièce à verser au débat.
    IP
    Dernière modification par InnocentParadis ; 16/11/2013 à 17h40.

  3. #3
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    Citation Envoyé par InnocentParadis Voir le message
    En février 2012, sur le fil
    http://www.mqcd-musique-classique.co...d.php?p=108364
    j'avais signalé une ressemblance assez extraordinaire entre le Boléro et la "Danse de Carmen" qui fait partie d'une musique d'Ernesto Halffter datant de 1926 (deux ans avant le Boléro). Voyez ici :
    [/URL]
    (c'est la première partie). Cette ressemblance semble n'être notée par aucun musicographe, en tout cas Google ne trouve rien de tel. Je me permets de remettre cette question sur le tapis en espérant qu'après 21 mois, quelqu'un pourrait avoir connaissance d'une pièce à verser au débat.
    IP
    Difficile de nier la ressemblance... Nice catch!

    Boléro, hormis quelconque calquage musical, reste une érude de l'obsession, absurde pour certains, géniale pour d'autres, et (pour ces chetrcheurs en neurologie) le symptôme d'une condition dégénératrice.

  4. #4
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    Citation Envoyé par ppyjc61 Voir le message
    Difficile de nier la ressemblance...
    C'est rien de le dire !!! mais en pareil cas, de quoi s'agi(rai)t-il ? de coïncidence fortuite ? de simple similarité due à ... à quoi
    Ou bien d'autre chose ? d'une sorte d'emprunt - ou de plagiat ?

    Je n'ai aucune "pièce à verser au débat" ; je reprends juste la question à mon compte - tardivement et j'adresse toutes mes confuses, je n'avais pas vu le post précédent ou bien je ne m'en souviens pas (celui d'il y a 21 mois ... mais bon j'aime bien le Boléro ... normal que je dégénère )

  5. #5
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    Citation Envoyé par Philippe Voir le message
    coïncidence fortuite ?
    Ce serait un peu comme une redondance pléonastique, quoi, ...?

  6. #6
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    Exact je préciserai donc conséquemment : coïncidence fortuite due au hasard ?




    (je donne le mauvais exemple je sais ; réponse dérisoire vaut-elle mieux qu'absense d'autre je me tâte et m'interroge : accessoirement je m'inquiète un peu, aussi ... )

  7. #7
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    Citation Envoyé par Philippe Voir le message
    réponse dérisoire vaut-elle mieux qu'absence d'autre [...] accessoirement je m'inquiète un peu, aussi ... )[/COLOR][/SIZE]
    1 - Souvent, oui !
    2 - Il ne faut surtout pas vous inquiéter pour cela, il y a tant d'autres choses bien plus graves au sujet desquelles vraiment s'inquiéter à juste titre !

  8. #8
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    Cela avait déjà été mentionné quelque part sur ce forum, mais ce film
    [/URL]
    cite Boléro (par exemple à 44mn et suivantes) ; mais c'est exprès et assumé, je crois.
    Dernière modification par lebewohl ; 18/11/2013 à 19h01.
    Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.

    Montaigne

  9. #9
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    Quant à l'oeuvre de Halffter et sa "pré-citation" du Boléro de Ravel, c'est en effet étonnant.
    D'un autre côté il y a aussi un appel de 4 notes au hautbois qui ressemble à la Rapsodie Espagnole du même Ravel, du coup bien antérieure.
    Selon cette critique :
    Ernesto Halffter (1905-1989) was only 21 when he was asked to write the score for Belgian-French director Jacques Feyder's silent film, Carmen. Apparently the music was heard only once, at the film's 1926 Paris premiere, and the composer considered it an ephemeral effort, but it emerges as an exceptionally attractive piece in this premiere recording with Mark Fitz-Gerald leading the Frankfurt Radio Symphony Orchestra. What's most striking about it is the brash assurance and mastery of the young composer; the music sounds more like the work of a seasoned professional than that of a novice. The orchestration is brilliant and frequently innovative, and the musical logic is entirely convincing even at its most unpredictable. Although its emotional tone is often fraught with the darkness and brutality characteristic of Merimée's novella, there's an almost breezy exhilaration in the inventive profligacy of the score. It's very Spanish-sounding, in the tradition of de Falla, Halffter's teacher, but Stravinsky was also a strong influence, and the piece is rife with Hispanic-flavored Rite of Spring-isms. Shamelessly direct quotations from Debussy, Ravel, Rimsky-Korsakov, and de Falla pepper the score, often in contexts dramatically foreign to the originals, to astonishing and entertaining effect. Fitz-Gerald and the Frankfurt Radio Symphony turn in a rambunctious and technically polished account of the score, and the sound is clean and vivid. Halffter's Carmen doesn't sound quite like anything else, but it should interest fans of post-Romantic and Stravinskian modernist orchestral music.
    il n'y aurait pas que la Rapsodie espagnole! Le livret du CD qu'a sorti Naxos de cette oeuvre serait peut-être intéressant!

    Finalement on trouve le livret sur internet :
    http://www.naxos.com/mainsite/blurbs...filetype=About this Recording&language=English#

    mais on n'en sait pas plus quant à Boléro!
    Dernière modification par lebewohl ; 18/11/2013 à 19h10.
    Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.

    Montaigne

  10. #10
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    Intéressante critique, mais qui nous laisse sur notre faim. Je n'ai pas connaissance que Halffter ait accusé Ravel de plagiat. Evidemment, cela lui aurait été difficile s'il est vrai qu'il pratiquait lui-même impudemment la citation, mais enfin, cela pourrait suggérer que Ravel (proche de Halffter à l'époque) ait mis la main à la pâte de Carmen en 1926 puis se soit estimé autorisé à exploiter ses propres idées, droit que Halffter, dans cette hypothèse, lui aurait reconnu. Une chose dont il faudrait être sûr aussi, c'est que la Danse de Carmen n'a pas été ajoutée au reste de Carmen après 1926. Dommage que je ne connaisse aucun musicographe à qui je puisse faire une douce violence pour qu'il examine la question...
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  11. #11
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    Oh... dans tous les cas je ne pense pas qu'il y ait besoin d'autorisation ; il y a quelques notes qui ressemblent à la rapsodie espagnole et au boléro, ce n'est jamais la mélodie entière, cela peut relever plus de l'échange de bons procédés. Stravinsky a copié telle quelle ce qu'il croyait une chanson populaire dans Petrouchka et a dû payer des droits d'auteur pendant des années, après! ("elle avait une jambe de bois" : )

    (cela donne l'occasion rare de mettre une video des Charlots sur ce forum ... )

    (je me demande si c'est la Rapsodie espagnole qu'il cite, ou Daphnis?)
    Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.

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  12. #12
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    Citation Envoyé par lebewohl Voir le message
    (cela donne l'occasion rare de mettre une video des Charlots sur ce forum ...
    Il n'y aurait pas une citation, un emprunt, un plagiat, un vol, ou que sais-je, qui permettrait de faire dignement figurer ici cet immortel chef-d'oeuvre qu'est Paulette, la reine des paupiettes ? 2 notes, voire 3, présentant une analogie fût-ce lointaine avec la St-Matthieu, ou l'adagio de la 9° d'Anton B. ?

  13. #13
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    je crois qu'il y a un do, à 1mn14s, par là ; je ne sais pas si ça compte ; je crois me souvenir en avoir vu un aussi dans la Saint Matthieu
    Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.

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  14. #14
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    en y réfléchissant, le deuxième "paulette", dans le refrain de ce rondeau gracieux (comme disaient les classiques favoris du piano) : "paulette, PAULETTE, tu es la reine des paupieeeettes", rappelle le début de l'appel de Donner dans "L'Or du Rhin". Non?

    [/URL] à 0mn32s

    (je n'avais jamais vu le scopitone, c était dommage)

    [/URL] à 0mn55s


    non?
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  15. #15
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  16. #16
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    Ah, merci pour Paulette, je n'avais pas entendu ça depuis longtemps ; le réentendre m'a fait sentir à quel point cela me manquait. J'y reviendrai plus souvent à l'avenir.
    'Hedo ! Heda, hedo !' et 'Pauleeeeetteu !' II, maintenant qu'on m'a mis l'oreille dessus, eh ben oui, y'a de ça. Je ne connaissais pas ce côté wagnérien de Rinaldi et Rego, qui semblent donc avoir fait de solides études musicales et en avoir retiré de tout aussi solides références et influences.
    Comme quoi aucun art n'est mineur, fût-ce au coeur même du Borinage.

  17. #17
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    Citation Envoyé par lebewohl Voir le message
    en y réfléchissant, le deuxième "paulette", dans le refrain de ce rondeau gracieux (comme disaient les classiques favoris du piano) : "paulette, PAULETTE, tu es la reine des paupieeeettes", rappelle le début de l'appel de Donner dans "L'Or du Rhin". Non?

    [/URL] à 0mn32s

    (je n'avais jamais vu le scopitone, c était dommage)

    [/URL] à 0mn55s


    non?
    Bien vu ! Vous devriez jouer plus souvent au jeu des similitudes.
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  18. #18
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    c'est-à-dire que des quartes ascendantes, je peux vous en trouver quelques-unes...
    Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.

    Montaigne

  19. #19
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    Citation Envoyé par lebewohl Voir le message
    c'est-à-dire que des quartes ascendantes, je peux vous en trouver quelques-unes...
    Il n'empêche que celle des Charlots vous a fait penser à celle de Wagner. Ceci dit, je n'étais pas tout à fait sérieux.
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  20. #20
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    moi non plus ; j'ai cherché une quarte juste, celle de Wagner est assez caractéristique, donc ma foi...

    En cherchant ce thème sur la toile, je tombe sur ça :
    http://www.youtube.com/channel/UCAqW...?feature=watch

    Cela peut rendre service au wagnérien qui ne saurait pas encore ça par coeur, comme il devrait. Ahem.
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