1483 Naissance de Martin Luther
1483 Naissance de Martin Luther
1566 Naissance de Robert Devereux, Deuxième comte d’Essex, favori d’Elisabeth 1° … à en perdre la tête !
(L’opéra de Donizetti entier est en Bibliothèque Musicale)
1668 Naissance de François Couperin
1697 Naissance de William Hogarth, peintre anglais, auteur de la série de tableaux A Rake’s Progress, qui inspira The Rake’s Progress de Stravinsky/Auden/Kallman, opéra majeur du XX° s.
(L’opéra entier est en Bibliothèque Musicale)
Hommage à un interprète emblématique du rôle de Tom Rakewell, le regretté Jerry Hadley :
et aussi :
(‘Madam’, c’est Dame Ninette de Valois (1898-2001, née Edris Stannus en Irlande, célèbre ballerine britannique)
1759 Naissance de Friedrich von Schiller
Vincent d’Indy : Le Chant de la Cloche, légende dramatique en un prologue et 7 tableaux, livret du compositeur d’après Das Lied von der Glocke de Schiller
Edouard Lalo : Fiesque, ou Le Complot Gênois, opéra en 3 actes sur un livret de Charles Beauquier d’après Die Verschwörung des Fiesko zu Genua de Schiller
Gaetano Donizetti : Maria Stuarda, opéra en 2 actes, livret de Giuseppe Bardari d’après la pièce éponyme de Schiller
(L’opéra entier est en Bibliothèque Musicale)
Antonin Dvorak : Dimitri, opéra en 4 actes, livret de Marie Červinková-Riegrová d’après Dimitr Ivanovič de Ferdinand Mikovec, lui-même d’après le drame inachevé de Schiller.
(L’opéra entier est en Bibliothèque Musicale)
Franz Schubert : Die Bürgschaft (La Caution), poème de Schiller d’après Gaius Julius Hyginus
Piotr Illitch Tchaïkovsky : La Pucelle d’Orléans, opéra en 4 actes, livret du compositeur d’après Die Jungfrau von Orléans de Schiller
Robert Schumann : La Fiancée de Messine, ouverture
Nicola Vaccai : La Sposa di Messina, d’après le drame Die Braut von Messina de Schiller
(la jeune cantatrice vous plante de ces suraigus … !!)
Giuseppe Verdi : I Masnadieri, opéra en 4 actes, livret d’Andrea Maffei d’après Die Räuber deSchiller
Giuseppe Verdi : Luisa Miller, opéra en 3 actes, livret de Salvatore Cammarano d’après Kabale und Liebe de Schiller
(L’opéra entier est en Bibliothèque Musicale)
Giuseppe Verdi : Don Carlos, grand opéra à la française en 5 actes, livret de Joseph Méry et Camille du Locle d’après la pièce éponyme de Schiller
(L’enregistrement en Bibliothèque Musicale est la version italienne dérivée de l’original de 1867)
L'opéra entier en version originale française sur :
https://www.youtube.com/playlist?lis...MI4NCE0VplYPMc
Giuseppe Verdi : Giovanna d’Arco, opéra en 3 actes et un prologue, livret de Temistocle Solera d’après Die Jungfrau von Orléans de Schiller
(L’opéra entier est en Bibliothèque Musicale)
Jaromir Weinberger : Wallenstein, opéra en 6 tableaux, livret de Milos Kares d’après Wallensteins Lager (Le Camp de Wallenstein) de Schiller
1862 Première de La Forza del Destino, de Verdi, commande du tsar Alexandre II, livret de Francesco Maria Piave d’après Angel de Saavedra y Ramirez de Baquedano, duc de Rivas
(L’opéra entier est en Bibliothèque Musicale)
Parallèlement à la version déjà en Bibliothèque Musicale, je me permets de recommander celle-ci :
1873 Naissance de Henri Rabaud
1981 Mort d’Abel Gance
La suite entière sur :
https://www.youtube.com/playlist?lis...UsMgpc4GOvlNZB
Je rajouterais volontiers Arthur Rimbaud, mort il y a cent trente-trois ans ; pas tellement de musique utilisant ses oeuvres ; j'en citerai deux, cet extrait des Illuminations de Britten, qui me semble coller parfaitement avec le texte, et Pastorale d'été de Honegger, qui me semble ne rien avoir à voir avec le texte censé l'inspirer ; dans une version avec un cor bien vibrant comme en France dans le temps!
Phrase
J'ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre ; des chaînes d'or d'étoile à étoile, et je danse.
Aube
J’ai embrassé l’aube d’été.
Rien ne bougeait encore au front des palais. L’eau était morte. Les camps d’ombres ne quittaient pas la route
du bois. J’ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes
se levèrent sans bruit.
La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.
Je ris au wasserfall blond qui s’échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse.
Alors je levai un à un les voiles. Dans l’allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l’ai dénoncée au coq.
A la grand’ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre,
je la chassais.
En haut de la route, près d’un bois de lauriers, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu
son immense corps. L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois.
Au réveil il était midi.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Et aussi Ennio Morricone, qui aurait quatre-vingt-quinze ans
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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