Je vous jure: la tête, les cheveux, la coiffe, les fringues en répétition, la gestuelle.
Dans le cadre de cette expérience (qui pose bien sûr bien des problèmes éthiques), c'est le docteur Bernard Haitink qui est chargé du suivi de la créature...
Je vous jure: la tête, les cheveux, la coiffe, les fringues en répétition, la gestuelle.
Dans le cadre de cette expérience (qui pose bien sûr bien des problèmes éthiques), c'est le docteur Bernard Haitink qui est chargé du suivi de la créature...
Ben, je suis allé écouter Christian T hier soir, figurez-vous. Tant qui'il n'y a que moi dans les parages, pas besoin de se planquer. Le problème, c'est en effet qu'apparemment j'étais le seul abruti à m'être emm... dans le TCE.
J'espérais que DIdier ou Sophie lancent le sujet, mais bon... en plus, je viens d'écrire le papier pour classiqueinfo qui sera publié demain (enfin tout à l'heure), je n'ai pas le courage de m'y recoller. Encore une 'tit' suite française par Koroliov et au lit!
Je ne vois Abbado dans les 70's que dans le 2e Concerto de Brahms, beaucoup plus expansif, avec une gestuelle beaucoup plus ample et moins "rythmique", cherchant à creuser les phrases: il n'avait pas encore totalement affirmé son style à l'époque, sa façon de souligner les phrasés était plus convenue et moins suggestives qu'après.
Là il y a un côté minimal et carré qui me fait penser à Muti.
La tenue de la baguette et "geste expressif" de la main gauche sont me semble-t-il identiques à Abbado. Concernant la tenue de la baguette, Dudamel a exactement le même "truc" copié sur Abbado...
D'ailleurs en regardant bien Daniel Harding, vous remarquerez que lui est un mix entre Abbado et Rattle...
Tous des copieurs, pfff
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