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Discussion: Playlist du mois de février 2022

  1. #1
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    Playlist du mois de février 2022

    Bonjour.
    • Schubert: Wanderer-Fantaisie D.760 Op.15 - Vladimir Krainev, piano (1966)
    • Scriabine: Etude Op.8 N°9 "Alla ballata"; Prokofiev: Sonate pour piano N°2 Op.14 - Vladimir Krainev (1966)
    • Paganini: Concerto pour violon et orchestre N°4 - Ruggiero Ricci, The Royal Philharmonic Orchestra, Piero Bellugi (1970)
    • Bottesini:Grand Duo pour violon, contrebasse et orchestre - Ruggiero Ricci, Francesco Petracchi, The Royal Philharmonic Orchestra, Piero Bellugi (1970)
    • Jullien: Suite du 3e ton - Pierre Cochereau aux grandes orgues rénovées de la Cathédrale de Chartres (1971)
    • Jullien: (0'00) Fantaisie chromatique; (4'38) Tierce en taille; (9'19) Prélude en ut à 5 parties - Pierre Cochereau aux grandes orgues rénovées de la Cathédrale de Chartres (1971)
    • Brumel: (0'00) Benedictus; (3'23) Regina coeli; (7'44) Sicut lilium inter spinas - Tinctoris: (12'26) Vostre regart - Pierre Cochereau aux grandes orgues rénovées de la Cathédrale de Chartres (1971)
    • Fauré: Schylock Op.57 - Michel Sénéchal, ténor; Orchestre de chambre de l'ORTF, Antonio de Almeida (1971)
    • Fauré: Pavane Op.50; Madrigal Op.35; Caligula Op.52 - Choeurs de l'Opéra de Paris, Orchestre de chambre de l'ORTF, Antonio de Almeida (1971)
    • Mendelssohn: Symphonie pour cordes N°11 - I Musici (1970)
    • Mendelssohn: Concerto pour violon et cordes en ré mineur - Roberto Michelucci, I Musici (1970)
    • Riegger: Romanza Op.56a; Music for orchestra Op.50; Dance Rhythms* - Orchestre de l'Académie Nationale Sainte Cécile, *Orchestre Philharmonique d'Oslo, Alfredo Antonini (1957)
    • Schönberg: Quatuor à cordes N°3 Op.30 - Quatuor d'Etat Bulgare Dimov (1967)
    • Stravinsky: Concertino pour quatuor à cordes - Quatuor d'Etat Bulgare Dimov (1967)
    • Webern: Quatuor à cordes N°3 Op.28 - Quatuor d'Etat Bulgare Dimov (1967)
    • Telemann: Suite pour flûte et cordes TWV 55:a2 - Hans Jürgen Möhring, Les solistes de Cologne, Helmut Müller-Brühl (1965)
    • Telemann: Ouverture-Suite TWV 55:fis1 - Les solistes de Cologne, Helmut Müller-Brühl (1965)
    • Telemann: Concerto pour violon et cordes TWV 51:a2 - Ernst Mayer-Schierning, Les solistes de Cologne, Helmut Müller-Brühl (1965)
    • Paliachvili: Absalon et Eteri - Irakly Chouchaniya (Abio, roi de Kartalinie); Liana Tatichvili (La Reine); Sourab Sotkilawa (Absalon, leur fils); Lamara Tchkoniya (Marikh, soeur d'Absalon); Zisana Tatichvili (Eteri, une orpheline), Chosta Kiknadze (Mourmane, vizir d'Absalon); Olga Kouszenova (Naana, mère de Mourmane); Choeur et Orchestre Symphonique de la Radio de l'URSS, Didim Mirzikhulava (1971)







    Bonne écoute,
    La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)

  2. #2
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    Le programme enregistré par Cochereau s'intitule "Les maîtres d'orgue de Chartres". Je laisserai les spécialistes dire si les "Grandes Orgues rénovées de la Cathédrale de Chartres" et l'interprète sont tip-top idéaux pour jouer du Antoine Brumel (1460-1510) et du Johannes Tinctoris (1435-1511) Le Jullien dont il est question ici est Gilles Jullien (1650-1703), chartrais titulaire des orgues de 1668 à 1703 et auteur d'un Livre d'orgue paru en 1690, à peu près en même temps que celui de François Couperin. Mais tout le monde sait ça

    Les Fauré proviennent d'une série que j'aime bien, les "Inédits ORTF", distribués par Barclay. Les parutions oscillaient entre raretés du répertoire ("Spleens et déesses" de Vierne, "Le docteur Miracle" de Bizet, "Les Eléments" de Rebel) et du contemporain (Ohana, Komives, Jolas). On y trouve aussi les premiers enregistrements d'un certain William Christie.

    "Ricci jouant Paganini et Bottesini avec Bellugi et Petracchi" semble italiano-italien malgré l'orchestre grand-breton mais Ricci était un italien de Californie. L'enregistrement, initialement paru chez Unicorn, a été repris par CBS. C'est cette édition que je vous propose mais mon exemplaire est en piètre état. A tel point que j'ai dû renoncer au complément de la seconde face : après le Bottesini, on revenait à Paganini avec Le Streghe, mais chez moi un sillon fautif mange une partie de l'oeuvre. La complétude ou rien, tel est mon credo, donc pas de Streghe avec des trous. (S'il manque une mesure ou deux dans une autre oeuvre de cette playlist ou des suivantes, merci de me prévenir, ç'aurait eu lieu à l'insu de mon plein gré. Je numérise désormais en télétravaillant et ce genre d'accident peut m'échapper.)

    Le programme Schönberg/Stravinsky/Webern est le 8e et dernier disque d'une "Histoire du Quatuor" parue en 1967 chez Harmonia Mundi en deux beaux coffrets toilés. Hors un 1er de Chostakovitch, le contenu des 7 autres disques peut être mis en ligne et je complote de vous proposer ça dans les prochains mois. (Anecdote totalement passionnante: quand j'ai acheté les coffrets, j'ai pu voir que le précédent propriétaire ne les avait jamais écoutés. Ils comportaient deux fois le disque N°7 et pas de disque N°8. J'ai été obligé d'acheter ce dernier à part. N'est-ce pas totalement passionnant?)

    L'opéra de Paliachvili raconte les ennuis d'un prince (Absalon) qui tombe amoureux d'une orpheline (Eteri) et veut l'épouser. Mais son vil vizir (Moumane) devient également amoureux d'Eteri et lui donne une maladie qui l'enlaidit pour la séparer d'Absalon, puis lui rend sa beauté quand ceci est fait. Est-il utile de préciser que tout le monde meurt? Nous somme donc juste dans la définition de George Bernard Shaw : "un livret d'opéra, c'est un ténor et une soprano qui veulent coucher ensemble mais en sont empêchés par un baryton". Ici, les tessitures correspondent exactement. Pour ce qui est des détails de l'affaire, je vous laisse tenter de trouver un livret sur Internet, si ça existe...
    J'espère ne pas m'être trompé en découpant les actes: le contenu du texte de présentation n'est pas d'accord avec les étiquettes des disques ni avec les plages, et c'est pour le moins fâcheux. On pourrait croire que c'est encore un coup de monsieur Melodiya, un coutumier de ce genre de blagues, mais il s'agit ici d'une surprenante reprise de l'enregistrement origine URSS par DG, une maison plus habituellement ganz seriös. Deutsche qualität mon oeil. (Pourquoi DG a voulu avoir à son catalogue un opéra géorgien inconnu reste un des grands mystère de l'industrie discographique.)

    La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)

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