Ah ... je n'avais pas tout saisi. Maintenant, je comprends enfin qui vous êtes : un vrai mélomane. C'est à présent évident, et ne supporte aucune discussion.
Pauvre ignorant que je suis, il me faut bien m'en rendre compte : je suis un mauvais. Vous me le montrez bien, et vu qui me le montre, je dois bien l'accepter.
Je ne comprends rien à l'opéra-comique ; j'ignorais que le concept fût en vigueur en 1786 à Vienne, merci de me le faire découvrir. Le Nozze est expressément un opera buffa -l'opéra-comique étant un concept spécifiquement français, alternant airs et dialogues
parlés, et non pas des récitatifs, fussent-ils du genre 'secco' ou 'accompagnato' - c'est du moins ce que je croyais, je faisais erreur. Merci.
Je vais faire effort pour élargir ma conception de la musique, d'une affligeante mesquinerie et incommensurablement triste. Si vous n'aviez été là, je ne m'en serais jamais rendu compte. Merci.
Que serais-je devenu sans vous ?
Merci, merci, merci.
NB : pour la petite histoire, la question des récitatifs des Nozze n'était pas une affaire d'un HvK ou d'un WL "supérieur" ordonnant à l'autre qu'il en fût ainsi par caprice, c'était une question de durée et de nombre de disques ... mais ces gens-là n'entendaient rien non plus à la musique et n'étaient que de méchants manants ignares et mesquins.
Il n'empêche, je préfère mille fois cette merveilleuse version sans récitatifs à tant d'autres avec récitatifs chiantes, mais chiantes, et musicalement comme vocalement pauvres, mais pauvres ... Mais j'ai un goût de chiottes, on me l'avait déjà laissé entendre, vous me l'avez confirmé. Merci, merci, merci ! Ah que de gratitude je vous dois, vivrai-je assez logtemps pour vous la témoigner ?
Ciao, mon maître !!