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Leonid Kogan - David Oistrakh - Pavel Kogan - Igor Oistrakh
comme ils disent chez mastercard: Priceless !!!!
Leonid Kogan - David Oistrakh - Pavel Kogan - Igor Oistrakh
comme ils disent chez mastercard: Priceless !!!!
Merci Tahar ! Une rencontre singulière. Pavel fasait un peu trop timide. Il y a de quoi...
Bruno
Je viens d'écouter cela. Ma soirée s'en est trouvée transformée, éclaircie, enchantée.
Je vais éteindre mon ordi, aller chercher dans la bibliothèque quelque belle chose qui fera pendant à cela.
Et si tout s'harmonise avec ce que je viens d'entendre, la nuit sera belle.
No further comment.
Merci Tahar.
La découverte de cette vidéo m'a totalement bouleversé et laissé sans voix.
Le bonheur absolu, l'extase en musique, c'est ça.
La personne qui a posté ce document sur YouTube dit qu'il l'a trouvé sur un DVD chinois, et qu'il ne sait pas lire les indications sur la date et les circonstances de ce concert.
J'en ai découvert des choses extraordinaires, en musique, sur YouTube, mais c'est probablement le plus beau que j'ai entendu, car le plus inattendu aussi.
Merci Tahar
À la veille du 1er anniversaire du forum, c'est un bien joli cadeau que tu nous fais là
C'est pas David O. tout à droite plutôt ?
C'est marrant comme il donne le tempo dans le premier mouvement et même je trouve qu'il anticipe génialement la reprise chorale (??) après la partie de Leonid tout au début... Ce qui donne un entrain jouissif, une précipitation enthousiaste !
Si, David Oïstrakh est tout à droite à côté de Léonid Kogan! Les mouflets sont à gauche!Envoyé par Agamemnon
Je suis un peu cynique là, mais j'aimerais avoir l'opinion d'Alfredo dont l'aversion pour Vivaldi peut ici être remise en cause par la présence de ces virtuoses.
Et qu'en pensent les fans de Musique Baroque sur instruments d'époque ?
De gauche à droite : Pavel, Igor, Leonid, David.
Bruno
Salut Jean Yves!
David Oïstrakh jouait sur des Stradivarius... Je suppose qu'il s'agissait d'instruments assez anciens non ?
thierry
Ben, Stradivarius était un décurion romain, non ?Salut Jean Yves!
David Oïstrakh jouait sur des Stradivarius... Je suppose qu'il s'agissait d'instruments assez anciens non ?
thierry
Avec des cordes en boyau de chat (cal)?Salut Jean Yves!
David Oïstrakh jouait sur des Stradivarius... Je suppose qu'il s'agissait d'instruments assez anciens non ?
thierry
Oui, bien sûr. Son Strad était de 1706. Mais monté "moderne". Et une technique violonistique différente de celle qu'ont aujourd'hui les 'baroqueux'.
Mais peu importe. Le résultat est là.
Non, le boyau de chat, c'est pour la chirurgie !Avec des cordes en boyau de chat (cal)?
Ahhh, je croyais que c'était pour le tennis.
Plus depuis assez longtemps !
J'ai la chance de posséder des concertos de Vivaldi pour deux violons par Oistrakh et Stern qui décoiffent dans les passages rapides en particulier.
Ceci dit,nous étions dans les années 60 .La manière de jouer cette musique n'avait rien à voir avec la façon de l'interpréter aujourd'hui et ce n'est pas une question d'instruments.
Les baroqueux vous diraient que cette version est grotesque sur le plan musical.Tout est à la corde,bien vibré à souhait comme s'il s'agissait d'un concerto de Brahms.Ca ne "décolle pas".Les mouvements lents sont vraiment d'une lourdeur désespérante.
Aujourd'hui,même les ensembles qui jouent des instruments modernes ont évolué et leur style se rapproche des meilleurs orchestres baroques.
Oistrakh joue toutes les notes comme si elles avaient la même importance,pas de temps fort,pas de temps faible chez lui...Kogan fait un effort et allège bien les finales mais c'est tout.
Une version qui ne vaut que par les noms de ses solistes et qui pour cela mérite quand même la détour.
<< Je suis un peu cynique là, mais j'aimerais avoir l'opinion d'Alfredo dont l'aversion pour Vivaldi peut ici être remise en cause par la présence de ces virtuoses. >>
C'est vrai que je ne suis pas un très grand fan de la musique de Vivaldi, mais ce concerto fait partie de ceux que j'apprécie nettement plus que d'autres et qui m'ont aidé à entrer dans son univers.
L'interprétation?... Je partage moins votre enthousiasme. Je trouve que ça manque quand même beaucoup de rebond et d'apreté...
Vivaldi à la sauce romantique.
Je me demande si la Musique Baroque se marie si bien que cela avec les instruments modernes. Comme je me demande où est l'intérêt de composer des "concerti-clones". Stravinsky n'avait pas tout à fait tort. Lorsque j'écoute plusieurs oeuvres (non vocales) de Vivaldi, je pense, je ne sais trop pourquoi, à ces jeunes auteurs d'aujourd'hui qui, parce qu'ils ont écrit un tube, se croit obligés de répéter la même mélodie, se disant que puisque la jeunesse d'aujourd'hui a les portugaises ensablées, elle ne saura pas faire la différence.
Rien n'est plus ridicule que l'enregistrement des "Quatre saisons" par Karajan. Et puis, d'un autre côté, je me dis que l'exécution de ces oeuvres par un grand orchestre, c'est une manière de faire découvrir la Musique Baroque à des gens qui ne sont pas sensibles à la musique des rois.
Les baroqueux vous diraient que cette version est grotesque sur le plan musical.Tout est à la corde,bien vibré à souhait comme s'il s'agissait d'un concerto de Brahms.Ca ne "décolle pas".Les mouvements lents sont vraiment d'une lourdeur désespérante.
Aujourd'hui,même les ensembles qui jouent des instruments modernes ont évolué et leur style se rapproche des meilleurs orchestres baroques.
Oistrakh joue toutes les notes comme si elles avaient la même importance,pas de temps fort,pas de temps faible chez lui...Kogan fait un effort et allège bien les finales mais c'est tout.
Une version qui ne vaut que par les noms de ses solistes et qui pour cela mérite quand même la détour.
Ça, pour être lourd !... la vache !!!!
Je suis d'accord avec vous Rolla, ça "mérite le détour", comme une sorte de curiosité qu'il faut aller voir pour se rendre compte soi-même de l'histoire, du passé et des goûts anciens, et constater l'influence et l'uniformisation que le romantisme a pu laisser là où il est passé.
Ce qui n'empêche pas que cela puisse être très apprécié et aimé. Car après tout, ils ont l'air très sincères tous ces musiciens. Ils jouent avec engagement... N'est-ce pas le crédit que l'on peut leur accorder ? Et donc d'aucuns diront pourquoi ne pas s'arrêter là ?...
La même chose existe pour le piano avec les sonates de Scarlatti par ex.
Hem...
Tout une époque !
Mais franchement, il est fortement recommandé de faire aussi le détour par d'autres versions jouées par des ensembles baroques plus réduits et récents, avec d'autres phrasés, d'autres timbres, d'autres dynamiques, tempi etc...
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