Décidément, ce fil est superbe et joliment cousu. Je suis assez fier de moi, hahahahaha
Vive l'Art !
Décidément, ce fil est superbe et joliment cousu. Je suis assez fier de moi, hahahahaha
Vive l'Art !
Non ; elle avait été active en Italie avant de partir pour l'Espagne, dans l'hiver 1559-60 (elle avait rencontré Michel-Ange, qui avait reconnu son talent, et dont elle avait reçu quelque enseignement).
Ele quitta l'espagne en 1578, et regagna l'Italie. Elle peignit encore, aussi longtemps que sa vue affectée par la cataracte le lui permit.
Petite confrontation sur la fameuse phrase de deux octaves de Philippe II:
Je crois que "Lapin" a déjà évoqué ici le duo Philippe II/Grand Inquisiteur. Sans doute ce que Verdi a fait de mieux. Terrifiante version Solti, avec Ghiaurov/Talvela.
Au niveau des voix graves, ça, le duo Hagen/Alberich (Götterdämmerung) et le trio - parfois - final de "Don Giovanni"... que demande le peuple ?
Dernière modification par JYDUC ; 13/12/2008 à 09h02.
<< Il manque B. Giaiotti, dommage >>
Toujours heureux de revoir et réentendre ce chanteur qui nous a laissé tant de souvenirs inoubliables sur scène. Dans Zaccaria de Nabucco et dans Fiesco, il donnait la chair de poule.
Superbe, le gala de fa !
Une confirmation s'il était besoin : fa aigu de Van Dam triomphant, mais le fa grave lui échappe - syndrome de Sarastro !
J'aurais bien aimé entendre aussi (liste non limitative) Arie, Cangalovic, Ghiuselev, Roni ...
NB : il me semble que Christoff fait une erreur sur la dernière note de la descente en arpège, il donne la tonique fa, alors que c'est la sus-tonique sol ... (faaaaaaa-do-la-fa-do-la-sol / sol-sol-sol-do-fa)
Dernière modification par Theo B ; 13/12/2008 à 14h24.
Vous avez raison, Théo, comme il est aussi simple d'escalader la "Symphonie alpestre" que la "Symphonie cévenole".
C'est juste une question de géographie, d'altitude. Et pis, c'est vachement meuhlancolique
Dernière modification par JYDUC ; 13/12/2008 à 14h37.
Bonjour.
Vous me direz peut-être que ça n'a rien à voir avec le sujet mais je trouve personnellement que nous sommes en plein dedans.
J'ai lu il y a peu un article sur la façon dont nait, psychologiquement parlant, le sentiment d'homophobie. D'après les spécialistes, lors de l'adolescence, ce moment où la pulsion sexuelle s'affirme, ceux qui ne sont pas trop "à l'aise" dans leur penchant naturel vers attirance sexuelle "normale" (au sens de cette hétérosexualité qui reste normative dans nos sociétés) peuvent parfois développer une phobie envers ceux qui, eux, ont accepté leur "déviance" (au sens j'espère de moins en moins fréquent qu'une société normative donnait à l'homosexualité). Ceux dont, au contraire, les préférences sexuelles se sont affirmées sans soucis ont moins tendance à cet ostracisme. (Personne ne dit que tous les homophobes sont des homosexuels refoulés, pensons à ne pas heurter la sensibilité des homophobes qui peuvent nous lire , mais ceux que je connais sont dans le cas)
Je ne sais pas trop pourquoi mais je suis enclin à transférer ceci en musique: ceux qui prennent de haut les goûts des autres en matière musicale, les ravalant au rang de "plaisirs simples", ne doivent pas être bien certains de leurs opinions à mon avis.
Ou bien, selon ce que je dis habituellement: "chacun trouve son plaisir où il le prend". Et qu'importe la taille.
mah
La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)
Il y a une discussion où on aborde ce thème sur le forum Tout Pourri.
C'est un peu hors sujet ici... Quoique... certains commentateurs considèrent Posa comme un héros gay particulièrement valorisé et positif à une époque où ces personnages étaient systématiquement traités de façon caricaturale ou ridicule...
Ah oui, tiens... Ce n'est peut-être pas par hasard que j'ai mis ça sur un fil "Don Carlo". Les recoins de l'inconscient (qui n'existe pas) sont quand même redoutables.
Je me souviens que c'était particulièrement sensible dans la version Solti. Fischer-Dieskau fait très bien l'amoureux transi, dans mon souvenir. Bergonzi, lui, fait très bien celui qui ne voit rien, et c'est assez réussi à mon goût.
mah
La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)
"Ou bien, selon ce que je dis habituellement: "chacun trouve son plaisir où il le prend". Et qu'importe la taille."
Modérez-vous, voyons
En parlant de taille.... allez on se fait plaisir:
Effrayant !
Le velouté du timbre de Ghiaurov s'opposant à la ronde noirceur de Talvela : un sommet !
Ouvrons une brève parenthèse, avant de fermer les yeux et d'écouter
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