Nous avons un peu parlé, pas forcément en bien, ces derniers temps de Sergio Fiorentino. Il nous reçoit chez lui pour cette interview. Curieusement timide, le dos vouté et regardant le sol lorsqu'il ne joue pas, il s'exprime plus facilement avec ses mains qu'avec sa langue, peut-être parce que l'interview est en anglais. Personnellement, j'apprécie sa simplicité. Une facette inconnue du pianiste, son amour pour le jazz, quand il joue Fats Waller dans le troisième extrait.











Un limoncello pour ceux qui apprécient.