Le fou (au) volant (de Schumann)

[Theo B]

Ouaiiiiis ! ça marche !

ça dépote sévèrement ! Chiarina à raison, on est pas loin du grand Tex...
Bien incapable de dire qui se cache derrière ce délire...

Pourrions nous avoir un petit indice concernant le zébulon qui avale cette petite merveille de Bob ? Est-ce emblématique ( ou symptomatique ) de son style ? Ou s'agit t-il simplement de sa crise d'adolescence ?
Ou alors d'un pari avec des potes autour d'un pur malt ?

Ouais, bien d'accord ! Et si, en outre, il prend la fantaisie (opus 17, oeuf corse) à mah de diffuser le reste de cet album Schumann de deux CD Andromeda (j'avais assez rapidement fait porter mes soupçons sur le fantôme susdit), aucun forumiste n'aura plus un poil de sec, notamment après avoir entendu les Davidsbündlertänze !

Musicalement,
l'obsédé-des-incunables

Allez, c'est parti mon kiki.

Davidsbündlertänze





Fantaisie

[Theo B]

Et pour Carnaval, Kreisleriana et Sonate, c'est ici que ça se passe.

[thierry h]

Merci Théo !

Bigre ! Dans les Kreisleriana on frôle aussi la rupture... Effectivement les David... sont superbes !

[Theo B]

NB: c'est de ça qu'on cause.

[Theo B]

Tant que l'on reparle de lui, j'en profite pour signaler que dans le bazar quasi richterien de la discographie de Gieseking, et une fois qu'on a épuisé le rassurant sotck EMI, cette petite collection Archipel ne propose que des choses formidables, qu'on trouve pour pas bien cher en général. En l'espèce ceci:






Bon, le dernier, j'avoue que je ne l'ai jamais entendu, mais au vu de la Kreutzer que Mah nous a fait découvrir l'autre jour par les deux mêmes, ça doit tenir la route...
Edit: ben, en même temps, je vais l'écouter, là, tiens, je n'avais pas vu qu'il était sur musicme...

[co2monamour]

Le disque Mozart est extrait de l'intégrale EMI, d'après les dates. Le disque Schubert est précieux, parce qu'il y a peu d'enregistrements de Schubert par ce pianiste. Ce qui est dommage, c'est qu'à ma connaissance, les trois Klavierstücke, enregistrés au cours de la même session, n'aient jamais été réédités.

Quant au disque Brahms, il y manque surtout l'opus 117, qui n'a jamais été réédité, alors que tous les Brahms de W. Gieseking après guerre ont été enregistrés dans une même session (1951 à Zurich). Allez comprendre !

Musicalement,
l'obsédé-des-incunables