j'ai lu aussi cette explication, mais il semblerait que périodique n'ait pas à voir avec la rhétorique mais bien avec la publication, une sorte d'argument publicitaire insistant sur la nouveauté à une époque où on ne republie que rarement, et plutôt une particularité de la musique française: ou bien ces oeuvres seraient-elles doublement périodiques? la question reste ouverte.
Je me demande si cette désignation ne s'appliquerait pas à des oeuvres esseulées, alors que la coutume voulait plutôt qu'on publie un opus composé d'une série de symphonies.