Bon même mode d'emploi que symphonies, concertos pour piano, tout ça!
Bon même mode d'emploi que symphonies, concertos pour piano, tout ça!
Je ne sais pas si c'est le genre, mais en voilà un où je suis nettement plus porté à en écouter de moins de cent ans. Cette liste n'est donc pas ma caution non réac'.
Mozart: n°5
Tchaikovsky
Sibelius
Bartok: n°1
Chosta: n°1
Berg
Schoenberg
Britten
Ligeti
Dutilleux
Je ne sais pas pourquoi le Brahms me touche moins qu'avant... Quant au Beethoven, je l'écoute toujours, mais uniquement par Berezovsky, alors ça compte plus.
Le genre a sérieusement gagné en richesse au XXème siècle, avant c'est quand même souvent des oeuvres de circonstance, pour faire briller le copain, etc.
Szymanowski : n°1
Bacewicz : n°7
Berg
Henze : n°2
Roslavetz : n°1
Merikanto : n°1
Tchaikovsky (B., évidemment!)
Tüür
Brahms
Bartok : n°2
Je vais avoir du mal ; j'échange 4 ou 5 concertos pour violon contre autre chose?
Sibelius
Berg
Beethoven
Brahms
Stravinsky
Prokofiev 1
Les quatre Saisons
Dutilleux
Mendelssohn
Bartok n°2 (merci Zimrilim, je l'avais oublié!)
Dernière modification par lebewohl ; 14/12/2009 à 14h00.
Mendelssohn : n°2
Prokofiev : n° 1
Chostakovitch : n°1
Sibelius
Brahms
Tchaikovski
Ligeti
Bartok : n°2
Britten
Prokofiev : n°2
Frédéric
Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes.Proverbe Shadok
A priori pas ton truc, mais ce n'était pas la peine que je le rajoute, je crois.
Ah mais maintenant que ça m'est revenu, je crois qu'il est tout à fait possible que ça ma plaise, à moins que tu ne m'expliques par le menu pourquoi je vais détester...
Le hasard faisant que j'ai écouté et découvert pas plusieurs concertos pour violon récemment, je songe à en proposer quelques-uns ici, surtout parmi ceux qui n'étaient pas forcément parmi mes favoris à l'époque.
Le premier de Chostakovitch, ici par Hilary Hahn, Mariss Jansons et la Philharmonie de Berlin (on trouve une version par Oistrakh, dédicataire et créateur, et Mitroupoulos avec la partition qui défile, mais c'est un peu petit à lire)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
celui de Korngold, ici par Hilary Hahn (oui, j'aime bien Hilary Hahn), l'orchestre radio-symphonique de Berlin dirigé par Kent Nagano. Là aussi, il y a une version avec partition, par Heifetz et Wallenstein qui dirige le philharmonique de Los Angeles. Comme le Oistrakh/Mitropoulos cité plus avant, c'est magnifique aussi.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Celui de Khatchatourian, ici par Oistrakh, dédicataire et créateur, et un orchestre radio-symphonique de Moscou dirigé par le compositeur ; il y a aussi Kogan avec le même chef et le même orchestre, il n'avait pas son archet dans sa poche lui non plus. Non, je ne l'ai pas trouvé par Hilary Hahn, ni avec la partition qui défile. Bon à la demande générale je mets Oistrakh ET Kogan.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Et Britten, ici aux Proms par Janine Jansen, l'Orchestre de Paris dirigé par Paavo Järvi, le plus poutinien des chefs d'orchestre. Il y a une version par Ida Haendel, qui vient de mourir, il faut que je jette une oreille!
(là non plus, ni Hahn ni partition)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
J'ai moins écouté le 2e de Martinu, mais enfin il est beau ; ici par Julia Fischer, la Philharmonie tchèque et David Zinman (en attendant que Julia Fischer joue les concertos pour piano du même...)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Encore Hilary Hahn!
Jusqu'ici j'avais toujours "calé" sur le concerto de Schoenberg ; l'enregistrement de Hilary Hahn me l'a fait entendre beaucoup plus lyrique que je n'imaginais. Donc voici. Non que je l'écouterais tous les jours malgré tout, mais enfin tout de même. Il paraît que le récent enregistrement d'Isabelle Faust (autre violoniste que j'aime bien) est très beau aussi, je ne le connais pas ; il est couplé avec la Nuit Transfigurée, version sextuor avec plein de stars.
Dernière modification par lebewohl ; 02/07/2020 à 21h15.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Il y a aussi celui de Phil Glass que j'aime beaucoup. Certes Glass a écrit pas mal de « déchets » mais ceci n'en fait sûrement pas partie ! et quelle interprétation !
ah oui tu as raison ; je l'oubliais! il y a aussi celui de Corigliano, qui n'est pas mal, mais je ne suis pas sûr de le mettre au même niveau (de mes goûts parfaitement subjectifs, hein) que les autres que j'ai mis; mais la chaconne est réussie!
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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