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Si. C'est pourquoi il n'a jamais pu être soigné par suppositoires.Envoyé par Fred Audin
Si. C'est pourquoi il n'a jamais pu être soigné par suppositoires.
Le dvd n'est pas un inédit, il fut disponible en compagnie d'un cd :
A qui profite le crime ? Aux mêmes qui vont republier la "Complete Rubinstein Edition" en 2012 (pour le 30e anniversaire de la mort de l'artiste) et qui pour le moment ressortent des anthologies (Chopin et Brahms) à bas prix... salut les doublons
Il y a là-dedans des choses qu'il n'est pas indispensable de posséder...
Heifetz avait une technique phénoménale mais n'a pas laissé que des références.
Question de goût mais je comprends les inconditionnels car j'empile aussi beaucoup de doublons concernant mes violonistes préférés (Ferras, Francescatti,Grumiaux,Milstein)
Au passage, y-a-t-il une explication logique ET compréhensible du classement des disques qui composent le coffret ?
Ce n'est ni par ordre chronologique, ni par ordre alphabétique
Quel est l'esprit tordu qui en a assuré le classement?
Number 6: I will not make any deals with you. I've resigned. I will not be pushed, filed, stamped, indexed, briefed, debriefed or numbered. My life is my own. I resign.
Ça semble être par ordre chronologique de parution en 33 tours (voir la progression des numéros de LM et de LSC à la fin du contenu des disques - et celle des numéros LCT pour les rééditions de 78 tours, j'ignorais ce distingo subtil, cette édition m'aura au moins servi à apprendre ça). Ainsi, un paquet des 78 tours inédits en LP ayant paru dans la Heifetz Collection des années '70, ils se retrouvent dans les CDs autour du N°80.
D'un autre côté, évitons de protester, sinon BMG/Sony/RCA allait nous sortir des CDs reprenant à l'identique les programmes des 78 tours acoustiques Victor à une seule face, 4' par disque
Edit: en jetant un oeil sur le premier message de ce fil, qui est plus clair quant à l'avancée des numéros de catalogue, je m'aperçois que c'est encore plus tordu que ça. C'est par ordre chronologique de parution en l'état: le concerto de Brahms avec Reiner, enregistré en stéréo et publié en mono en 1955 (LM 1903) est placé au niveau des parutions de 1959 parce que paru en stéréo à cette époque (LSC 1903, évidemment). Eh bé...
Dernière modification par mah70 ; 21/12/2010 à 13h01.
La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)
Ouh là, là...
Pourquoi choisir la simplicité quand on peut faire compliqué .....
Merci pour cette explication Mah, je sens que je vais mieux dormir désormais
Le même type de raisonnement doit s'appliquer à l'édition Horowitz.
Number 6: I will not make any deals with you. I've resigned. I will not be pushed, filed, stamped, indexed, briefed, debriefed or numbered. My life is my own. I resign.
Petit problème de calcul simple:
sachant que la "Heifetz collection" comprenait 65 CDs*
sachant que l'édition "Heifetz complete album collection" comprend 103 CDs**
sachant de la "Rubinstein Collection" comprenait 94 CDs***
combien de CDs comprendra la "Rubinstein complete album collection"?
*incluant 2 CDs d'origine Decca, enregistrements de 1944/1946, dont un 78 tours où Heifetz accompagne Bing Crosby, notamment pour la Berceuse de "Jocelyn", CDs qui ne sont pas donc cette "complete album collection"(sois maudit RCASonyBMG).
** dont 3 CDs d'inédits
*** dont 2 CDs d'inédits
La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)
Si le même principe arithémtique est respecté, à 150 CD, même aimant Rubinstein comme je le fais depuis toujours, ce sera sans moi ! Je veux bien les doublons, et quand on aime ne pas compter, quand même, passé les bornes y'a plus de limites ...
On peut aussi s'attendre à voir débouler un de ces jours une Toscanini-édition...
Quoique, il paraît que Toscanini n'est pas vendeur
Number 6: I will not make any deals with you. I've resigned. I will not be pushed, filed, stamped, indexed, briefed, debriefed or numbered. My life is my own. I resign.
"Ils" seraient bien capables de "me" faire ça, considérant que j'ai fini d'acheter tous les CDs de l'ancienne édition Heifetz il y a quelques semaines et ceux de la collection Toscanini il y a quelques mois.
La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)
Au fait, vous noterez dans les inédits de l'édition heifetz ceci:
Dvorak: Piano Quintet in A major, works 81 [unreleased recordings]
Jascha Heifetz (violin), Rateina Jacob (piano)
Israel Baker (viola), Gregor Piatigorsky (cello)
(24th & 25th March 1964)
qui n'a évidemment rien à voir avec cela:
- Dvorak: Piano Quintet No. 2 in A major, Op.81, B.155
Jascha Heifetz (violin)
Gregor Piatigorsky (cello), Israel Baker (violin)
Joseph de Pasquale (viola), Leonard Pennario (piano)
(November 09, 1964 Sun & Hollywood 19, RCA Studio)
Ça ne sent pas du tout son "on l'a loupé ce printemps, réenregistrons-le cet automne histoire de voir si c'est mieux"...
Edit: en fait, la première mouture a été abandonnée car on avait oublié un violon....
Dernière modification par mah70 ; 21/12/2010 à 17h29.
La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)
De la même manière, ne pas confondre
Ernst Toch
Divertimento Op.37-2 [RCA LSC-3009] Arr. pour violon et violoncelle
Jascha Heifetz (violin), Gregor Piatigorsky (cello)
(Hollywood, April 16 1965, RCA Studios)
CD 70/103
et
Divertimento Op.37-2 [previously unreleased recordings]
Jascha Heifetz (violin), William Primrose (viola)
(August 29, 1941)
CD 102/103
Claude Torres
Nouvelle date de disponibilité du coffret : le 03 janvier 2011
Cela devient l'arlésienne
Number 6: I will not make any deals with you. I've resigned. I will not be pushed, filed, stamped, indexed, briefed, debriefed or numbered. My life is my own. I resign.
Heifetz a enregistré L'Arlésienne ??Cela devient l'arlésienne
(Vraie question : a-t-il au demeurant jamais enregistré une Fantaisie sur Carmen ou quelque chose d'approchant ?)
Oui, oui, une Carmen à la sauce hollywoodienne :
Bizet (arr. Waxman): Carmen Fantasy
Jascha Heifetz (violin)
Vuahisu Donald (conductor), RCA Victor Symphony Orchestra
(New York Sun August 11, 1946, Lotus Club)
[LSC-3232 (e);
Number 6: I will not make any deals with you. I've resigned. I will not be pushed, filed, stamped, indexed, briefed, debriefed or numbered. My life is my own. I resign.
Ce doit être kitsch, certes, mais on peut subodorer une virtuosité transcendante, alors rien que pour ce plaisir-là !...
Je pensais à la Fantaisie sur Carmen de Sarasate, mais non, jamais faite ?
Il ne semble pas.
La version Waxman vient d'un film de Negulesco, "Humoresque" (1946), un des sommets du mélo hollywoodien, où la riche Joan Crawford couve la carrière du jeune violoniste John Garfield. Au violon dans le film, le jeune Issac Stern (son premier enregistrement). Heifetz a gravé le morceau quelques semaines après Stern.
Waxman s'est quand même beaucoup inspiré de la version Sarasate...
Pour la bonne bouche, la bande-annonce du film (subtile, comme toujours à l'époque):
La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)
la Fantaisie de Sarasate, Heifetz en a enregistré une version (réduite) avec Isidor Achron au piano en 1924 paraît-il (ça ne peut pas être Waxman, en 24 il ne l'avait pas encore écrite)
Dans le genre son pourri mais délire total, on trouve aussi ça sur youtube
Dernière modification par sud273 ; 22/12/2010 à 22h01.
http://claytorama.tumblr.com/post/19...g-the-bagpipes
Ai la flemme de rechercher le numéro de Hi-Fi News dans lequel il est écrit que ce diable de violoniste avait été prié par la direction de l'hôtel (londonien, je crois) où il séjournait de bien vouloir aller jouer du bag-pipe sur le toit de l'immeuble. En tout cas, j'y ai appris qu'il pratiquait cet instrument. Le saviez-vous?
Bon: la raison pour laquelle je reviens sur cette star, c'est que la liste donnée ci-dessus suggère que tous les CD ne sont pas de simples reprises des microsillons, car on n'y retrouve pas le sempiternel couplage Mendelssohn/Tchaïkovsky des années 50 avec les mêmes artistes (RPO/ Beecham & Philharmonia O./Susskind) paru chez VSM.
Tant que j'y suis, je conteste vigoureusement la tendance d'aucuns à enfermer cet artiste dans la catégorie virtuose: ces interprétations sont fabuleuses de vie, et s'agissant de Tchaikovsky au moins, il y a là une dimension idiomatique qui manque à des tas de vedettes plus récentes.
Tchaikovsky : On ne pourrait pas jouer la partition d'Auer et être idiomatique.
Moi j'adore Heifetz sinon. Je n'ai rien à reprocher sa musicalité.
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