Beethoven

[lebewohl]

et ça qui suit, il faut bien que ce soient des étrangers, hein...

[The Fierce Rabbit]

Ah non, là vraiment trop c'est trop, on passe les bornes du supportable. Mais il est vrai qu'en effet cela se passe dans des contrées reculées avec des gens restés un peu primaires.

[sud273]

Au fait, à quel numéro d'opus en étions-nous resté?

Mon ressentiment vis-à-vis de Beethoven, en tant que corrupteur de la musique savante, a un peu régressé. Mais si je m'exprime ici, ça va hurler... (en hommage à notre ami le canard dont on ne sait c e qu'il est devenu ; un bon professeur dans le Nord (de l'Europe?)

Il reste pourtant quelques pièces dont j'aimerais parler.
Faute de trouver en pièce détachée celle des Amadeus ou des Italiano, la version des Berg paraît relativement satisfaisante

Ceux qui voudraient trouveront des version intégrales des meilleurs, mais on s'en fout n'est-ce pas?

On en a certainement déjà parlé, Deuxième écrit du corpus malgré son n°1, ce quatuor que je trouve pour le reste insignifiant contient ce mvt lent qui reste pour moi une des plus belles partitions de Ludwig van. Comme l'opus précédent sur lequel on a glissé.
Dans tout le classicisme de son époque, Beethoven s'est hissé au niveau des derniers quintettes de Mozart, l'intro du sol mineur en avance de 200 ans sur son temps par exemple. Et c'est là que je me retrouve, dans un Beethoven qui est dans la continuité de ses prédécesseurs, avec la petite touche de génie qui sera souvent éradiquée ensuite (ce n'est pas non plus Schubert qui a mis des années à y arriver, mais lui, y parvient dès son premier essai, raison de la magie de cet absolu chef d’œuvre).
Ah, montez le son, ici ça a l'air bien :
Si triste, si vigoureux, si énergique, et le violoncelliste est joli à regarder, pas clair ce message, mais laissons la musique le dire




(Bon toujours pénible de ne pas pouvoir composer un message sans se relogguer)