Egon Wellesz

[Claude Torres]

Bonjour à toutes et à tous,

Un nouveau disque de Egon Wellesz nous propose l'intégrale des oeuvres pour violon seul et violon et piano (inédites en disque)

CD Gramola 98818 (Autriche)
Joana Madroszkiewicz, violon
Paul Gulda, piano

avec :
Sonate pour violon seul, opus 36 (1923)
Courante pour violon seul (1923)
Tempo di Siziliana pour violon seul (1924)
Suite pour violon et piano, opus 56 (1937, non publiée - rév. 1957)
Sonate pour violon seul, opus 72 (1953 - rév. 1959)
Cinq Miniatures pour violon et piano, opus 93 (1965)

Comme ces oeuvres ne remplissaient pas le CD les interprètes nous proposent en plus :
Joseph Haydn : Sonate pour le Piano avec accompagnement de Violon
Ludwig van Beethoven : Sonate pour piano et violon en la mineur, op. 23

Gramola est distribué par Codaex, mais je n'ai pas trouvé le CD sur leur site. Par contre amazon.de nous propose des "marketplaces" où il est possible de le commander. Ce que j'ai fait


Image provenant du site de Gramola Disque No. 55

Claude Torres

[Dominique]

Merci Claude
Egon Wellesz, c'est vraiment très très bien. Je vais me lancer sur les traces de ce disque dès maintenant...

[Theo B]

D'Egon Wellesz, je ne connais que le poème symphonique Prosperos Beschwörungen (je ne sais plus si l'umlaut est sur le o ou l u).
Une magnifique découverte que j'ai faite l'an dernier, grâce au coffret Andante/Naïve consacré au Wiener Philharmoniker jouant la musique du XXe Siècle en concert. C'est ici Haitink qui dirige cette oeuvre cyclique fascinante et d'un grand raffinement d'orchestration.

[lebewohl]

Sur le o!

(ah... pas assez long ; sur le o, donc)

[Claude Torres]

D'Egon Wellesz, je ne connais que le poème symphonique Prosperos Beschwörungen...

Theo,

Il ya beaucoup à découvrir de Wellesz et en particulier 2 disques édités par le lablel Capriccio.

- L'intégrale des oeuvres pour piano par Margarete Babinsky (67181)
- 20th Century Portraits. Une magnifique compilation dirigée par Roger Epple (67077)

Puis l'intégrale des symphonies chez CPO

Et enfin les enregistrements chez Orfeo Musica Rediviva par Gerd Albrecht (Une collection de chef-d'oeuvres)

Tous les détails sont ICI

Claude Torres

[Dominique]

Et toutes les symphonies chez CPO ainsi que Bakchantinnen etc etc
Il y a un très joli double album assez zarbi (excellent pour le scrabble, zarbi) qui se nomme "The Emigré Composers" avec, outre deux très belles oeuvres de Monsieur Wellesz, des pièces de gars comme Seilber, Gellhorn, Tausky, Spinner, Rankl, Reizenstein.
Ne me demandez rien sur ces bonhommes hein !
L'essentiel, c'est qu'ils touchent leur bille !

[Claude Torres]

..."The Emigré Composers" avec, outre deux très belles oeuvres de Monsieur Wellesz, des pièces de gars comme Seilber, Gellhorn, Tausky, Spinner, Rankl, Reizenstein.
Ne me demandez rien sur ces bonhommes hein !
L'essentiel, c'est qu'ils touchent leur bille !

Ces musiciens ont la particularité commune d'avoir émigré d'Allemagne entre 1933 et 1938, souvent parcequ'ils étaient juifs. Ils sont arrivés en Angleterre où en tant que "Ennemy Alliens" ils ont été internés dans des camps (rien à voir avec les camps nazis). Là ils ont continué à faire de la musique.
C'est là que Norbert Brainin rencontre Peter Schidlof (camp d’internement du Shropshire), et Siegmund Nissel (camp d’internement de l’Île de Man)
Ils fondent ensemble le "Brainin Quartet" en 1947, qui deviendra le "Amadeus Quartet" en 1948
Les anglais ont très vite compris que ces gens étaient des victimes et pas de ennemis. Ils ont été libéres et soit ce sont intégrés à la vie britannique soit ont émigré vers les Etats-Unis.
Vous trouverez plus de renseignements ICI.

Claude Torres

[xmichel]

Et si on envoyait une pétition à Nimbus pour qu'ils éditent (enfin) les quatuors à cordes enregistrés par les Artis ?

Dans le même genre, qui a entendu les quatuors de Hans Gal ?

XM

[Dominique]

de France Gall ? (hem )

[Claude Torres]

...
Dans le même genre, qui a entendu les quatuors de Hans Gal ?
XM

Xavier,

Si vous ne les avez pas, il faut vous les procurer sans délai.
Les Edinburgh Quartet sont magnifiques.

Claude Torres

[Claude Torres]

Et si on envoyait une pétition à Nimbus pour qu'ils éditent (enfin) les quatuors à cordes enregistrés par les Artis ?...
XM

Le 1er volume avec les Quatuors 3, 4, et 6 est planifié pour début 2008.
J'espère que le plan sera tenu.

Claude Torres

[Patricia]

Et si on envoyait une pétition à Nimbus pour qu'ils éditent (enfin) les quatuors à cordes enregistrés par les Artis ?

Je signe tout de suite!!! Je suis même pour une intégrale. Mais finalement, combien en ont-ils enregistré en tout?

[Patricia]

Le 1er volume avec les Quatuors 3, 4, et 6 est planifié pour début 2008.
J'espère que le plan sera tenu.

Claude Torres

Oh, merci pour cette bonne nouvelle!

[Claude Torres]

Je signe tout de suite!!! Je suis même pour une intégrale. Mais finalement, combien en ont-ils enregistré en tout?

Wellesz en a écrit 9 plus une pièce opus 103.
J'espère qu'une intégrale sera une intégrale

Claude Torres

[Claude Torres]

Wellesz en a écrit 9 plus une pièce opus 103.
J'espère qu'une intégrale sera une intégrale
Claude Torres

Bonjour,

Voilà enfin le CD très attendu des quatuors de Egon Wellesz

Quartett No.3 op.25 (revised by Hannes Heher)
Quartett No.4 op.28
Quartett No.6 op.64
Artis Quartet
Nimbus NI 5821
2007

J' en profite pour vous signaler que sur le site de "Presto Clasical" (anglais) les disques Nimbus sont en promo. 1 acheté, 1 offert. Je n'y ai aucune participation!

Claude Torres

[xmichel]

Bonjour,

Voilà enfin le CD très attendu des quatuors de Egon Wellesz

Quartett No.3 op.25 (revised by Hannes Heher)
Quartett No.4 op.28
Quartett No.6 op.64
Artis Quartet
Nimbus NI 5821
2007

J' en profite pour vous signaler que sur le site de "Presto Clasical" (anglais) les disques Nimbus sont en promo. 1 acheté, 1 offert. Je n'y ai aucune participation!

Claude Torres

Eh bien, c'est pas trop tôt .... Et merci pour le tuyau "Presto Classical"
XM

[Jacques]

C'est "tout moi", ça () : je tombe chez un disquaire, parmi ses invendus, sur cet album que j'achète à vil prix...



..., m'enthousiamse pour ce que je découvre et pense pouvoir faire "l'annonce du siècle" sur ce forum, sans me rappeler qu'un fil de discussion y était déjà consacré à Egon Wellesz (... ).

Me voilà donc venu ici "comme grêle après vendange", avec pour seule contribution de faire remonter ce fil qui "dormait" depuis bientôt trois ans et de reproduire ci-dessous (car ils m'ont paru fort intéressants) les passages du texte de la brochure jointe à l'album dans lesquels Hannes Heher présente le compositeur et son oeuvre :


"Egon Wellesz a marqué l'histoire de la musique du vingtième siècle dans plusieurs domaines : il s'est distingué par nombre de travaux de musicologie (il fut par exemple le premier à déchiffrer l'écriture neumatique byzantine, il écrivit des travaux variés sur l'opéra baroque ou encore la première biographie d'Arnold Schönberg), il a toujours défendu avec force la musique de son époque (il fut notamment l'un des membres fondateurs de la SIMC) et a enrichi le répertoire de ses propres compositions. Avant la date fatale de 1938, il était même considéré comme l'un des compositeurs les plus importants d'Allemagne. Malheureusement, il fut ensuite banni et l'on n'entendit plus parler de lui. Après la fin du régime nazi, les jeunes compositeurs, en quête de renouveau, cherchèrent leurs repères dans une direction nouvelle, et n'accordèrent plus aucune place aux compositeurs comme Wellesz. De plus, le lieu d'exil choisi par Wellesz, Oxford, n'était guère favorable à la reconnaissance publique de ses compositions - tout le monde sait que l'histoire de la musique d'après-guerre s'est jouée dans le centre de l'Europe. Toutefois, la publication par la maison d'édition viennoise Doblinger des oeuvres de la fin de sa vie a marqué une renaissance de sa musique. Et aujourd'hui, (...) le Fonds Egon Wellesz créé en 1997 défend avec succès sa production artistique auprès de la Société Philharmonique de Vienne. La redécouverte du compositeur semble enfin être en bonne voie.

Egon Wellesz naquit le 21 octobre 1885 à Vienne, dans une famille originaire de la partie hongroise de la monarchie des Habsbourg. Après avoir reçu une éducation scolaire humaniste très complète, il commença des études de droit, pour se tourner très vite vers la musicologie. Il obtint son doctorat en 1908 avec une thèse sur Giuseppe Bonno, présentée devant Guido Adler. Parallèlement, il fut en 1905 et 1906 l'un des premiers élèves particuliers d'Arnold Schönberg; mais suivant le conseil de Bruno Walter, il cessa assez rapidement ses leçons afin de conserver suffisamment d'indépendance et de liberté dans le domaine des méthodes de composition. Très vite, il obtint de premiers succès tant comme compositeur que comme musicologue. Ses œuvres, principalement ses œuvres pour la scène, furent très souvent jouées dans les années 1920 et 1930 (le point culminant fut certainement la création de l'opéra Les Bacchantes op. 44 le 20.06.1931 au Staatsoper de Vienne). Il fut également professeur de musicologie à l'Université de Vienne et reçut plusieurs distinctions de l'étranger : ainsi, en 1932, il fut nommé docteur honoris causa de l'Université d'Oxford, pour ses mérites en tant que compositeur. Comme nous l'avons déjà signalé plus haut, Wellesz était également très actif dans le domaine organisationnel, et il s'engagea très fort en faveur des amis de Schönberg, encore tout à fait inconnus à cette époque.

Lors de l'arrivée de Hitler à Vienne, le 12.03.1938, Egon Wellesz se trouvait heureusement à l'étranger : après le grand succès de la création, à Vienne, de Prosperos Beschwörung, indubitablement l'un de ses plus grands chefs-d'œuvre dans le domaine symphonique, il accompagnait Bruno Walter à Amsterdam et Rotterdam, où sa pièce symphonique devait être jouée. Bien que Wellesz eût été immédiatement recherché par les nazis dès leur prise de pouvoir en tant que «juif», «monarchiste» et compositeur de musique «dégénérée», ses amis eurent beaucoup de peine à le dissuader de revenir au pays. Grâce aux nombreux contacts qu'il avait noués dès sa jeunesse avec l'Angleterre, il prit le chemin de l'exil vers ce pays. Il put même obtenir tout de suite un poste de musicologue, et fut nommé en janvier 1939 «Fellow» du Lincoln College à l'Université d'Oxford, une haute distinction qui lui permit plus tard d'occuper la chaire d'histoire de la musique créée à son intention.

Les années suivantes, Wellesz travailla exclusivement comme chercheur et professeur d'université. Il ne se sentait pas capable de composer. Ce n'est qu'en 1943 qu'il coucha sur papier un cinquième quatuor à cordes, dont le mouvement lent porte le titre significatif «In Memoriam» (c'était un «adieu à ma vie antérieure ainsi qu'aux amis de ma jeunesse et de ma vie de jeune adulte», écrivit le compositeur). Ayant ainsi renoué avec la créativité dont il avait fait preuve avant la guerre, il se remit à composer (presque la moitié de son œuvre vit le jour après son soixantième anniversaire !), et s'intéressa principalement à la grande forme symphonique. Ce ne sont plus les oeuvres pour la scène qui figurent au centre de sa production, mais neuf symphonies (et un épilogue symphonique), dont presque chaque mesure rappelle la musique de sa patrie. Ses modèles sont Bruckner, Mahler, Schönberg lorsqu'il est atonal - Wellesz n'utilise la technique dodécaphonique que dans quelques rares œuvres, avec une grande liberté. Parmi ses autres compositions les plus importantes, nous citerons, outre une vaste production de musique de chambre et diverses pièces vocales (comme les «Lieder aus Wien» sur des textes de H. C. Artmann, dans la lignée de l'atonalité), le Concerto pour violon op. 84 et plusieurs grandes pièces pour chœur et orchestre comme la Duineser Elegie op. 90, Mirabile Mysterium op. 101 et le Canticum sapientiae op. 104.

Après 1945, Egon Wellesz obtient un très grand nombre de distinctions nationales et internationales: le Grand Prix national autrichien pour la musique (1961) et la Distinction honorifique autrichienne pour la Science et l'Art (1971); il est nommé «Commander of the Order of the British Empire» en 1957 par la reine d'Angleterre en personne, reçoit la même année en France la Grande Médaille d'Argent de la Ville de Paris, et en 1961 l'Ordre de Saint Grégoire des rnains du pape Jean XXIII. Un an avant sa mort, il est nommé membre honoraire de la Société Philharmonique de Vienne. Par contre, personne ne pense, ni dans son ancienne ni dans sa nouvelle patrie, à lui restituer ses fonctions de professeur de musicologie à l'Université de Vienne ou à faire jouer en grande pompe ses principales compositions. Wellesz n'est pas un cas à part, il partagea ce destin avec de nombreux autres exilés. Ceci ne l'empêcha pas de travailler inlassablement jusqu'à son plus grand âge. Plus son «gagne-pain» qu'était la musicologie passa à l'arrière-plan, plus il s'engagea, en collaboration avec ses éditeurs et avec l'aide de sa famille, en faveur d'une reconnaissance de sa production artistique. Dans les lettres écrites au cours de ses dernières années transparaît très souvent la peur de «ne plus avoir le temps». Il aurait certainement apprécié d'assister à la création de sa dernière symphonie, terminée au printemps 1971; mais le 18 janvier 1972, il subit une attaque d'apoplexie dont il ne se remit jamais complètement. Il s'éteignit dans la nuit du 8 au 9 novembre 1974 à Oxford.

Sur le plan stylistique, l'œuvre symphonique d'Egon Wellesz se partage en deux grandes catégories. Dans les symphonies n° 1 à 5, le compositeur se rattache à la grande tradition symphonique de Schubert, Bruckner et Mahler ainsi qu'aux innovations de son professeur Schönberg. Sa Cinquième Symphonie, différente des précédentes, adopte en partie la technique dodécaphonique; elle marque à la fois la fin d'une évolution et le début d'une nouvelle étape dans son travail. En effet, c'est dans la symphonie suivante, la Sixième, que Wellesz découvre «le langage symphonique qui lui convient», comme il l'exprimera lui-même rétrospectivement. Dans toutes ses œuvres ultérieures, il développera jusqu'à la plus grande perfection ce nouveau style «de la maturité». Celui-ci se caractérise par une écriture expressive, en blocs sonores, une atonalité libre, une ligne mélodique privilégiant les grands intervalles, une texture toujours plus fine et, partant, une instrumentation toujours plus éclaircie. Sur le plan formel, les quatre dernières symphonies sont très semblables : deux mouvements lents encadrent un Scherzando très animé - la forme sonate traditionnelle est définitivement reléguée aux oubliettes. (...)"


Jacques

[Jacques]

Je vois trop tard que mon enthousiasme () m'a fait intervertir deux lettres dans la forme verbale identique que j'ai utilisée précédemment ().

Désolé.

Jacques

[Claude Torres]

C'est "tout moi", ça () : je tombe chez un disquaire, parmi ses invendus, sur cet album que j'achète à vil prix...

..., m'enthousiamse pour ce que je découvre et pense pouvoir faire "l'annonce du siècle" sur ce forum, sans me rappeler qu'un fil de discussion y était déjà consacré à Egon Wellesz (... ).

Me voilà donc venu ici "comme grêle après vendange", avec pour seule contribution de faire remonter ce fil qui "dormait" depuis bientôt trois ans et de reproduire ci-dessous (car ils m'ont paru fort intéressants) les passages du texte de la brochure jointe à l'album dans lesquels Hannes Heher présente le compositeur et son oeuvre :
(...)"
Jacques

Donc le vin sera bon!

Quelques parutions récentes de Wellesz à ne pas rater:

Les 2 concertos chez Capriccio

Concerto pour piano, op. 49
Concerto pour violon, op. 84
Margarete Babinsky, piano
David Fruehwirth, violon
Rundfunk Sinfonie-Orchester Berlin
Roger Epple
Capriccio 10502



Les oeuvres pour musique de chambre chez CPO

Sommernacht für Kammerorchester & Gesang
Satz für Kammerorchester (1920)
Persisches Ballett op. 30 (1920)
Suite für Violine & Kammerorchester op. 38 (1924)
Four Songs of Return für Sopran & Kammerorchester op. 85 (1961)
Ode an die Musik für Bariton & Kammerorchester op. 92 (1965)
Christine Whittlesey (Soprano)
Adrian Eröd (Hungarian: Erőd Adrián) (baritone)
Josef Hell (violon)
Ensemble Kontrapunkte, Dirigent : Peter Keuschnig
CPO 757527



Enfin la Musique chorale chez Nimbus

Mass in F, Op. 51 (1934)
Kyrie / Gloria / Credo / Sanctus / Benedictus / Agnus Dei
I Sing of a Maiden, Op. 62a (words: 15th Century) (1945)
Offertorium in Ascensione Domini (1965)
Missa Brevis, Op. 89 (1963)
Kyrie / Gloria / Sanctus / Benedictus / Agnus Dei
To Sleep, Op. 94 (words: John Keats) (1965)

Clive Driskill-Smith (organ)
Christ Church Cathedral Choir / Stephen Darlington
Rec. Merton College Chapel, Oxford, 16-17 March 2006
Nimbus NI5852



J'attends avec angoisse le 2ème volume des Quatuors chez Nimbus.
Le 1er volume est une merveille

Claude

[Jacques]

Les albums que vous venez de présenter, Claude (), sont terriblement alléchants .

Passant rapidement par la F*** de Lausanne en fin d'après-midi (au départ pour une tout autre raison : l'achat d'un livre sur la photographie), j'ai constaté avec dépit que pas un seul CD avec de la musique d'Egon Wellesz n'y était actuellement en vente.

Heureusement, donc, que les disques peuvent être commandés sur l'Internet (). Même moyennant une attente, avant de les recevoir, que je trouve parfois bien longue.

Jacques