Concerto pour soprano colorature et orchestre, op. 82, Nadezhda Kazantseva, soprano, Orchestre de la Radio de l'URSS, Nicolai Golovanov (1945)
Concerto pour soprano colorature et orchestre, op. 82, Nadezhda Kazantseva, soprano, Orchestre de la Radio de l'URSS, Nicolai Golovanov (1945)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
C'est assez rigolo (et ça a été enregistré par Dame Joan Sutherland). Je ne connais pas cette version (et je me demande si Kazantseva et Golovanov n'ont pas été les créateurs de l'œuvre en 1942). Ça dépote?
La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)
Ben c'est... oui, rigolo ; si j'osais j'userais de la formule qu'utilise le chien Kador à la lecture de la "Critique de la Raison pure", mais enfin ce serait censuré.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Voila qui est bien original ! Je me pose subitement la question: Existe-t-il des concerti pour scie musicale et orchestre ? Avec Raymond Devos en soliste ?
Oh, on a entendu pire et puis c'est le Génial Nicola qui dirige !!!!
Bonjour.
Je suis l'heureux (?) possesseur de cette chose:
Je ne me sens pas de juger la qualité musicale de cette scie, mais les arrangements disco qui servent d'accompagnement (le disque date de 1976, je crois) font ma joie. L' "Air" de Bach et l' "Ave Maria" de Gounod avec des poum-poum derrière vous ont soudain un chic certain . Le disque a existé en compact semble-t-il.
La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)
Par le plus grand des hasards, je viens de lire une interview du compositeur Einojuhani Rautavaara, qui explique que, dans son opéra "Raspoutine", il a utilisé "une sorte de scie musicale", avec un archet de violoncelle.
Si quelqu'un en sait plus...
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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