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Discussion: James Ehnes

  1. #1
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    James Ehnes

    OK... Par amis canadiens interposés, il m'avait aimablement dédicacé un programme à l'occasion d'un concert "tout Mozart" donné dans son Manitoba natal. Ce qui, I am aware, me rend d'emblée suspect de partialité en sa faveur ().

    Mais bon... Il n'y a pas encore sur ce forum de fil général de discussion sur Félix Mendelssohn; les choses déjà dites sur James Ehnes sont éparpillées; et s'il y a déjà à propos de ce dernier un petit fil dans la section "Violon (et autres instruments de lutherie)", il concerne un album tout à fait particulier.

    D'où le risque que je prends en ouvrant un fil plus "général" sur ce violoniste, dont la carrière suit son cours avec un succès constant .

    Je le fais en me référant à son plus récent album, sorti l'an dernier, où ce que certains appellent "the Jascha Heifetz of our day" (Globe and Mail) interprète avec le Philharmonia Orchestra dirigé par Vladimir Ashkenazy le célèbre Concerto pour violon en mi mineur Op. 64 de Mendelssohn, puis se joint à des musiciens de la Seattle Chamber Music Society pour jouer l'Octuor en mi bémol majeur Op. 20 du même compositeur (qui n'avait que 16 ans - fait à peine croyable ! - lorsqu'il l'écrivit).

    Voici une image de cet album :



    Sur l'interprétation, je me bornerai simplement à mentionner deux articles : l'un en français qu'on peut lire ici, l'autre en anglais qu'on peut voir .

    Jacques
    Dernière modification par Jacques ; 30/03/2011 à 13h22.

  2. #2
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    Citation Envoyé par Jacques Voir le message
    ... où ce que certains appellent...
    Je voulais dire : ... où celui que certains appellent...

    Sorry ().

    Jacques

  3. #3
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    Dans la Sonate pour violon et piano en sol mineur (1917) de Debussy, enregistrée à Toronto en décembre 1999 avec Wendy Chen au piano, James Ehnes faisait déjà preuve de qualités tout à fait remarquables :

    [/URL]

    Tout en signalant par la même occasion un excellent disque consacré aux sonates de Prokofiev avec la même accompagnatrice (et un autre incluant la sonate de Janácek), je regrette quand même qu'il n'enregistre pas davantage de musique de chambre.

    Un album consacré aux sonates de Fauré, par exemple, serait le bienvenu.

    Jacques

  4. #4
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    Après un disque "tout Bartok" (les deux concertos pour violon et celui pour alto), que j'ai évoqué sur le fil voué à ce compositeur (post 121), le dernier enregistrement publié à ce jour de James Ehnes est cet album "tout Tchaikovsky" disponible depuis quelques semaines :



    C'est une nouvelle réussite, à laquelle ClassicsToday France consacre un article des plus élogieux (cf. ici) .

    Ce disque offre en outre l'avantage de présenter, en plus du célébrissime Concerto pour violon Op. 35, composé en Suisse (à Clarens) en mars et avril 1878, deux oeuvres plus courtes pour violon et orchestre, la Sérénade mélancolique Op. 26 et la Valse-scherzo Op. 34, ainsi que Souvenir d'un lieu cher Op. 42, trois pièces pour violon et piano dont Tchaikovsky "fit cadeau" à Nadejda von Meck pour la remercier de l'avoir invité à séjourner, cette même année 1878, dans sa propriété de Braïlov en Ukraine (elle-même étant absente).

    Je ne connaissais pas encore ces trois pièces, certes modestes mais charmantes (pour accompagner le violoniste, Ashkenazy troque ici sa baguette pour le piano), et ne savais pas que la première, intitulée "Méditation" (les deux autres sont "Scherzo" et "Mélodie"), était en fait une version pour violon et piano du mouvement lent prévu à l'origine pour le Concerto (dont la "Canzonetta" centrale a tout de même davantage de caractère).

    Jacques

  5. #5
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    Citation Envoyé par Jacques Voir le message
    invité à séjourner [...] dans sa propriété [...] elle-même étant absente)
    Eût-elle été présente, sa vertu ne risquait pas grand chose de la part de Piotr Ilitch.
    (Oh la vilaine remarque fielleuse à l'égard de Piotr - que je révère pourtant !)
    Le Souvenir d'un Lieu Cher est une pièce tout à fait adorable, d'un lyrisme qui n'appartient qu'à Piotr Ilitch. Je connais moins, ou pas, les autres.

  6. #6
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    Il existe, bien sûr, d'autres interpréttions de la valse-scherzo et de la sérénade mélancolique: Perlman a endisqué ces deux pièces avec Temirkanov lors d'un gala 150ie anniversaire (disque RCA avec plein de noms populaires auprès des mélomanes américains - Yo-Yo Ma pour les variations Rococo, Jessye Norman pour une poignée de lieder et Temirkanov et la Philharmonique de Leningrad pour la (trop jouée) Anne 1812...

    Kremer a endisqué la sérénade (jumelée au concerto) avec Maazel sur son premier disque pour DG (repiqué au numérique pour le centenaire DG) et la violoniste Leila Josefowicz avec Dutoit et Montréal endisqua la Valse-Scherzo (jumelage étrange avec les concerti de Glazounov et Mendelssohn). Ce sont les prestations dans ma collection, avec (bien sûr) Oistrakh et Ormandy/Philadelphie (CBS, années 60) pour le concerto pour violon.

  7. #7
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    Citation Envoyé par The Fierce Rabbit Voir le message
    Eût-elle été présente, sa vertu ne risquait pas grand chose de la part de Piotr Ilitch.
    (Oh la vilaine remarque fielleuse à l'égard de Piotr - que je révère pourtant !)
    Le Souvenir d'un Lieu Cher est une pièce tout à fait adorable, d'un lyrisme qui n'appartient qu'à Piotr Ilitch. Je connais moins, ou pas, les autres.
    Je crois que madame v. Meck ne risquait pas grand chose de toute façon (sinon Debussy qui courtisait sa fortune... euh, sa fille, s'en serait chargé).
    Tchaïkovsky était à Brailov avec Iossif Kotek -jeune violoniste-(qui ne risquait plus grand chose non plus c'était fait au moins depuis le voyage à Venise -on sait que Tchaïkovsky écrivit le concerto en route, dans sa fuite avec Modeste devant sa nouvelle femme nymphomane- Le concerto fut ensuite orchestré à Clarens en Suisse (toujours chez Nadedzha dont Kotek était le violoniste résident depuis 1877)
    Ce qui m'intrigue c'est la dédicace A B******* (B suivi de 7 astérisques précise Tchaïkovsky à son éditeur, ce qui excède le nombre de lettres restantes pour Brailov.

    Tchaïkovsky et Kotek en 1877, ils se fâcheront deux ans plus tard, Kotek refusant de jouer le concerto. Il avait été autorisé par Tchaïkovsky à orchestrer le Scherzo-Valse -qui lui était dédié-, mais la version (avec orchestre) qu'on connaît est celle de Glazounov.
    Kotek mourut en 1884 de la tuberculose. Un seule lettre de Tchaïkovsky à Kotek est parvenue jusqu'à nous.

  8. #8
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    Comme je ne connais que relativement peu de choses sur la vie de Tchaïkovsky, une lacune que j'envisage de combler prochainement, les précisions fournies ci-dessus, y compris la photo présentée au post précédent, m'ont beaucoup appris ().

    J'étais toutefois bien conscient du fait que Mme von Meck, même si elle avait été physiquement présente lors du séjour que j'évoquais, n'aurait guère eu de souci à se faire pour sa vertu ().

    À toutes fins utiles, pour montrer - notamment - la relative retenue dont font généralement preuve les auteurs de livrets joints aux disques, je reproduis ci-dessous quelques passages du texte (par Philip Borg-Wheeler, traduction française de Dennis Collins) accompagnant le récent album de James Ehnes :


    "Tchaïkovsky fut très malheureux dans le choix de son dédicataire pour chacun de ses deux plus grands concertos. Le Premier Concerto pour piano se révéla la cause d'une brouille majeure avec son collègue Nikolaï Rubinstein, dont les critiques franches le blessèrent profondément. De même, Leopold Auer, le soliste à qui était destinée la création de son Concerto pour violon, doutait de sa qualité et trouva quelques passages qui ne convenaient pas au caractère de l'instrument. Ses tergiversations, bien que moins cruelles que l'hostilité franche de Rubinstein, équivalaient néanmoins à un nouveau rejet. C'est Adolf Brodsky qui donna la création - retardée de plus de trois ans - à Vienne, en décembre 1881, sous la direction de Hans Richter.

    Tchaïkovsky travailla à son Concerto pour violon en mars et avril 1878, alors qu'il séjournait à Clarens, sur le lac Léman. Le compositeur avait grand besoin des bienfaits thérapeutiques d'un voyage à l'étranger après l'effondrement rapide de son mariage l'été précédent. À Clarens, Tchaïkovsky reçut la visite d'un ancien élève en composition et violoniste, Iossif Kotek, dont il s'éprit. Parmi les nombreuses pièces qu'ils jouèrent ensemble, c'est la Symphonie espagnole de Lalo qui fascinait le plus le compositeur. Bien qu'il y ait peu d'influence directe sur son propre concerto, il fut très heureux de suivre les penchants lyriques de Lalo, du moins dans les deux premiers mouvements.

    Avant même les problèmes avec Auer, Kotek avait donné à Tchaïkovsky d'utiles conseils sur des aspects de la technique violonistique et avait appris le concerto page par page à mesure que la partition voyait le jour. Pourtant, lui aussi hésitait à jouer l'œuvre. Quand l'occasion se présenta en 1882, il refusa, au grand déplaisir du susceptible compositeur, même si à cette époque Kotek consacrait plus de temps à l'enseignement et moins aux concerts. À la fin de 1884, il mourut de tuberculose à l'âge de vingt-neuf ans. Auer - comme Rubinstein - se rendit compte par la suite de son erreur de jugement et devint l'un des plus grands avocats du concerto. (...)

    Le Souvenir d'un lieu cher est un groupe de trois pièces qui datent de la même année que le concerto. La protectrice de Tchaïkovsky, Nadejda von Meck, l'invita à séjourner sur sa grande propriété, à Braïlov, en Ukraine, où ses plus grands plaisirs furent l'usage d'un excellent harmonium, les attentions des domestiques, et les promenades dans la campagne environnante. En guise de charmant cadeau à Madame von Meck, absente, il écrivit le Scherzo et la Mélodie avant d'ajouter le mouvement lent original du concerto - désormais intitulé Méditation. Ce mouvement abandonné trouve un cadre plus modeste dans cette série de pièces de salon exceptionnelles. Le Scherzo central (Presto giocoso) a une section médiane lyrique (Con molto espressione ed un poco agitato) qui rappelle que même les mélodies moindres de Tchaïkovsky peuvent être très séduisantes. Le mouvement le plus mémorable du recueil est peut-être la Mélodie, une pièce enchanteresse avec une idée contrastante plutôt chorégraphique marquée «grazioso, scherzando». (...)"


    Jacques
    Dernière modification par Jacques ; 23/12/2011 à 00h21.

  9. #9
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    c'est tout de même très bien: ça montre combien les notices ont tout de même progressé depuis quelques temps. On n'aurait jamais lu ça il y a ne serait-ce qu'une dizaine d'années.

  10. #10
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    Citation Envoyé par Fred Audin Voir le message
    On n'aurait jamais lu ça il y a ne serait-ce qu'une dizaine d'années.
    C'est tout à fait juste.

    Une exception à la règle ancienne ("silence radio" sur certains aspects de la vie privée des compositeurs), remontant sauf erreur à bien plus de dix ans, m'est toutefois restée en mémoire. Je ne retrouve malheureusement plus ce disque, consacré à des oeuvres de Szymanowski. Mais sa notice révélait sur le compositeur polonais des détails à faire défaillir toute personne mal préparée à les apprendre (... ).

    Une petite anecdote de fin d'année, relative aux enregistrements de James Ehnes... Comme la loi suisse en matière de droits d'auteur est l'une des moins restrictives du monde (une copie privée est tolérée si on la destine, à titre gratuit, au cercle familial ou même à un ami), j'en profite pour faire un peu comme ma marraine, qui aime offrir à son entourage des confitures qu'elle confectionne elle-même : il m'arrive (mais c'est très rare) d'élaborer une petite compilation musicale de mon cru pour la donner à une personne qui m'est proche ().

    En annexe à mes "Season's Greetings", je viens donc d'envoyer à un ami mélomane et anglophone ce disque dont il n'existe qu'un seul exemplaire () :



    On objectera peut-être que la présence, aux côtés de deux concertos d'inspiration romantique, d'une oeuvre de Ravel qui ne l'est pas du tout (romantique) est quelque peu déplacée. Mais il restait de la place et, plutôt que de la combler par un autre concerto, j'ai saisi cette occasion de "donner sa chance" à la Sonate pour violon et piano en sol majeur (celle créée en 1927 par Enesco, Ravel étant au piano), pour laquelle j'ai toujours eu un faible. Et bien entendu, Ehnes excelle aussi dans ce répertoire ().

    Jacques

  11. #11
    Membre Avatar de Jacques
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    Citation Envoyé par Jacques Voir le message
    Je ne retrouve malheureusement plus ce disque, consacré à des oeuvres de Szymanowski.
    J'ai remis la main tout à l'heure sur ce disque, qui prenait la poussière sur l'un de mes rayons : c'est le deuxième volume de l'intégrale de l'oeuvre pour piano de Szymanowski enregistrée pour Naxos par Martin Roscoe.

    Paru en 1996, il est moins ancien que dans mon souvenir. Et à la relecture du texte joint, rédigé par Alain Cochard, je me rends compte maintenant qu'il n'y avait pas vraiment matière à "fouetter un chat". Surtout à notre époque.

    Certains passages ont tout de même trait à des faits très intimes (sexualité du compositeur), qu'on a davantage l'habitude de trouver dans des biographies détaillées plutôt qu'imprimés sans ambages sur de simples notices destinées à un relativement large public.

    Je m'abstiens néanmoins de reproduire ces passages, me bornant à leur reconnaître le mérite de la franchise.

    Jacques

  12. #12
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    Citation Envoyé par Fred Audin Voir le message
    Ce qui m'intrigue c'est la dédicace A B******* (B suivi de 7 astérisques précise Tchaïkovsky à son éditeur, ce qui excède le nombre de lettres restantes pour Brailov.
    D'après la notice du disque citée par Jacques, celui qui a créé le concerto s'appelle Brodsky: le nombre de lettres y est, peut-être se connaissaient-ils dès l'écriture du concerto. Sinon, plus vraisemblable, le concerto pourrait être dédié à Borodine.
    Amicalement vôtre.

  13. #13
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    Citation Envoyé par Amitiou Voir le message
    D'après la notice du disque citée par Jacques, celui qui a créé le concerto s'appelle Brodsky: le nombre de lettres y est, peut-être se connaissaient-ils dès l'écriture du concerto. Sinon, plus vraisemblable, le concerto pourrait être dédié à Borodine.
    Si je ne m'abuse, Joachim devait créer ce concerto (comme pour Brahms), mais s'était désisté... Ou était-ce le Brahms, car les deux concerti sont contemporains. La mémoire...

  14. #14
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    Citation Envoyé par ppyjc61 Voir le message
    Si je ne m'abuse, Joachim devait créer ce concerto (comme pour Brahms), mais s'était désisté... Ou était-ce le Brahms, car les deux concerti sont contemporains. La mémoire...
    C'était Léopold Auer (le professeur de Heifetz) qui déclara que le concerto est techniquement injouable.

    Bruno

  15. #15
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    Citation Envoyé par brunoluong Voir le message
    C'était Léopold Auer (le professeur de Heifetz) qui déclara que le concerto est techniquement injouable.

    Bruno
    Merci, Bruno!

  16. #16
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    Bonjour.
    Citation Envoyé par ppyjc61 Voir le message
    Si je ne m'abuse, Joachim devait créer ce concerto (comme pour Brahms), mais s'était désisté... Ou était-ce le Brahms, car les deux concerti sont contemporains. La mémoire...
    Joachim a bien créé le concerto de Brahms. C'est celui de Dvorak, pour lequel il avait demandé des révisions drastiques, qui lui est passé sous le nez.

    La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute. (Pierre Desproges)

  17. #17
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    Citation Envoyé par mah70 Voir le message
    Bonjour.
    Joachim a bien créé le concerto de Brahms. C'est celui de Dvorak, pour lequel il avait demandé des révisions drastiques, qui lui est passé sous le nez.

    Merci, Mah70.

    Pas que Wikipedia soit une source d'informations de choix, la lecture de la page anglaise du concerto de Tchaikovsky (http://en.wikipedia.org/wiki/Violin_...y)#Composition) révèele sa part de détails. Tchaikovski était en Suisse avec Iosif Kotek (violoniste formé soius Joachim qui était l'élève de Tchaikovski en composition) au moment de la genèse du concerto. Kotek aurait apparemment été le choix initial comme soliste mais Tchaikovski aurait voulu éoargner la réputation de son élève (les potinages sans doute...)

  18. #18
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    Je me permets un petit retour sur James Ehnes, sujet du fil, avec ci-dessous son excellente version du très lyrique Concerto pour violon de Samuel Barber, que quelqu'un (avec la bénédiction de CBC Records ?) a eu la bonne idée de mettre intégralement sur YouTube .

    Et je saisis cette occasion de souhaiter à toutes et à tous une heureuse année 2012, riche en belles découvertes (ou redécouvertes) musicales de toutes sortes .

    [/URL]

    [/URL]

    [/URL]


    Jacques

  19. #19
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    Merci pour cette trouvaille. Il s'agît ici de l'enregistrement auquel je faisais référence avant Noël sur un autre fil de discussion (sur le concerto de Barber), et qui a donné un second souffle au fil sur Ehnes. Le Korngold de ce disque est également de premier niveau!

  20. #20
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    Je n'étais pas au courant que M. Ehnes avait assemblé un quatuor qui porte son nom et - de plus - qu'il ne s'est produit qu'aux USA jusqu'à maintenant.

    Ce n'est plus le cas, car l'ensemble et son premier violon se sont produits au festival de Musique de Chambre de Montréal, et notre Gingras national nous offre une critique élogieuse de sa prestation:

    http://www.lapresse.ca/arts/musique/...6_section_POS1

    Espérons que nous retrouverons cet ensemble sur disque!

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