Il est mort il y a soixante-six ans ; je serai bref :
Il est mort il y a soixante-six ans ; je serai bref :
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
New Philharmonia, Sir John Barbirolli :
Par l'un de ses fidèles dès le début :
Par un des grands russes du clavier pas forcément des plus connus :
Par une des très grandes dames du chant de son temps :
Schoenberg toujours bien sûr, mais je prends prétexte du compositeur pour présenter un chanteur peu connu – dommage ! – un de ces indéfectibles ‘troupiers’ allemands qui aurait pu faire une belle carrière internationale, à l’égal par exemple d’un Windgassen, dont il était le contemporain :
Idem, même prétexte pour deux belles cantatrices moins connues que d'autres mais qui n'en étaient pas moins ... de belles cantatrices :
Quelques commentaires que m'inspirent ces extraits.
Je n'aime pas, loin de là, toutes les oeuvres de Schoenberg, et, notamment, je n'arrive pas à m'intéresser à Pelléas, et j'ai du mal à suivre la plupart des oeuvres dodécaphoniques. Mais je suis frappé par la similarité des sonorités orchestrales entre Pelléas et le concerto pour piano (et la symphonie de chambre, d'ailleurs).
Je ne connaissais la version Kubelik des Gurrelieder que de réputation, et pas du tout Schachtschneider. Belle voix, et apparemment aussi belle version que la réputation qu'elle a! (je crois que j'ai trop longtemps sous-estimé Kubelik...).
Steuermann joue ça comme de la musique viennoise, cela tombe bien!
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Et puisqu'on est à présenter ses chouchous, je suggère cette version de Pierrot Lunaire, qui avait fait du bruit, si j'ose dire, en son temps. Le côté enfant perdue de la chanteuse est étonnant, et va très bien, je trouve. Je ne sais pas ce que Mme Sziklay est devenue...
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Schonberg théorise en 1911, dans son traité d'harmonie, la Klangfarbenmelodie ou mélodie de timbres. Par analogie à la mélodie "standard" avec une succession de hauteurs, il s'agit ici de faire une succession de timbre (Klangfarbe en allemand). C'est son disciple et ami Webern qui va pousser à l'extrême cette technique, notamment dans ses 5 pièces pour orchestre op. 10.
J'en parle dans une nouvelle vidéo youtube...
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