Je ne sais plus s'il a déjà été mentionné ceci :
Je ne sais plus s'il a déjà été mentionné ceci :
Et ceci (la chaconne commence à 11:12) :
Virtuosité, maîtrise parfaite, science des ornements et des nuances, rigueur implacable ... A voir et méditer par tou.te.s ( ) les apprenti.e.s luthistes.
Et comme on ne s'en lasse pas, 2 fois, lieux et instruments différents.
Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 24/11/2021 à 19h52.
Une passacaille d'Angelo Michele Bartolotti (? - av. 1682) jouée, avec talent, sur la seule guitare d'Antonio Stradivari encore en état d'être jouée :
Aller chercher une chaconne (au moins de titre) chez Offenbach, fallait le faire, bravo!
(c'est charmant, en plus)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Oui, ce n’est vraiment que pour l’humour du titre !
Restons dans l'humour débridé
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Goffredo Petrassi : on n'en parle pas souvent! Bon...
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
La chaconne de Gubaidulina avait disparu
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Il m'est soudain apparu que si ceci n'est pas une basse très obstinée, ça y ressemble furieusement :
Ah oui... bien vu... ou plutôt bien entendu, si j'ose dire.
Cela me fait penser que l'on pourrait étendre ça à tous les Boogie Woogie, voire à (presque) tous les blues. Comme ici :
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Certes, certes, mais il faut rester prudent : jamais avant la prière du soir.
Dans un tout autre genre, ceci aussi, qui tout en étant d'un anonyme du XVI° (parfois attribué à Hugh Aston, mais sans certitude), a inventé la basse d'Alberti avec un peu d'avance - sur divers instruments, c'est le genre de pièce éminemment adaptable :
Copie de virginal italien
Muselaar ‘mother and child’
Clavecin
Orgue Esteban de San Juan, 1784, église San Andres de Valladolid
Ne serait-il pas temps de songer à cet ostinato hypnotique ? Par l'un de ceux qui l'ont le mieux servi :
oh... il est tout à fait temps!
J'étais même persuadé de l'avoir déjà mis, mais je ne la retrouve pas. C'est une magnifique version, en effet. J'aime bien aussi celle de Staier, dans un genre différent. Plus strict, mais en l'occurrence ça ne manque pas de pertinence.
Dernière modification par lebewohl ; 20/11/2024 à 17h16.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Bien des vidéos ont disparu, Soler était peut-être dedans ...
Que dites-vous de My Lady Carey's Dompe, c'est un peu le même principe, ici ils l'ont fait courte, mais on pourrait aussi bien prolonger en une espèce de moto perpetuo, avec variations improvisées à l'infini à la main droite.
Staier a ceci de particulier qu'il réussit tout ce qu'il fait, qu'il touche un clavecin, un pianoforte, un piano 'moderne', un orgue ...
Dans le 3° quatuor de Britten, il y a une passacaille dans le 5° mouvement - citée plus haut - et aussi un ostinato, le 2° mouvement :
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