Un fondu enchaîné de Bach à Mozart :
(Johann Sebastian Mozart - Mozart Moments Ep. 4 with Sara Davis Buechner)
Le morceau de Bach commence à 0:14, celui de Mozart à 0:58. Le phénomène est éclairé par une référence aux Marx Brothers.
Un fondu enchaîné de Bach à Mozart :
(Johann Sebastian Mozart - Mozart Moments Ep. 4 with Sara Davis Buechner)
Le morceau de Bach commence à 0:14, celui de Mozart à 0:58. Le phénomène est éclairé par une référence aux Marx Brothers.
"On" attire mon attention sur cette coïncidence qui, apparemment, n'en est pas une
(je préfère, je crois, la version de la première en 1964, mais là on le voit chanter, et c'est tout de même étonnant)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Incroyable. Plus c'est gros, moins on le voit.
En effet
Pourtant, cette « ressemblance » (ou « source d'inspiration ») semble connue et reconnue depuis longtemps : si vous tapez « amsterdam greensleaves » sur Google, vous verrez qu'une multitude d'articles avait déjà relevé cet aspect - que je découvre avec vous et grâce au post de Lebewohl.
La lecture de ces articles est intéressante ; même Wikipédia dans sa version en anglais en parle ...
Mais c'est très étonnant si on n'avait jamais fait le rapprochement (comme c'est mon cas), indeed ...
Question: quelle est la doctrine de la SACEM dans ce cas de figure?
La mélodie de Greensleeves étant déjà une des innombrables reprises faites au cours des siècles du passamezzo antico qui date du XVI° siècle, il est vraisemblable que c’est exempt de droits depuis quelque temps.
C'est bien ce que je me disais, mais mon esprit (tordu?) raisonnait dans le sens du persiflage: puisque la mélodie était connue et dans le domaine public, quid des droits attachés à l'air de la chanson de Brel?
Pourquoi persifler? Eh bien, parce qu'on a eu vu un agent de la SACEM prétendre prélever des droits sur des publications de chant traditionnel. Je me suis ainsi farci le recensement de tous les titres d'un double CD, TOUS de facture orale, et donc non déposés, même s'il est arrivé que l'auteur soit connu.
Je puis vous dire que, quand on se retrouve pratiquement seul à porter un projet à bout de bras, de la numérisation à la réfection des transcriptions et traductions, plus la rédaction de textes explicatifs en breton et en français, le jour où vous apprenez de la firme à laquelle vous confiez le pressage qu'il faut le nihil obstat de la SACEM, vous MAUDISSEZ cet abus de monopole.
D'ailleurs, si jamais il y a une prochaine fois -cas fort peu probable- je contacte une firme irlandaise.
Non mais sans blague...
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