tiens je n'ai plus accès à l'option modifier, moyennant quoi je n'en dirai pas plus (ça n'avait aucun intérêt de toute façon) Ah si, si l'on ne si prend pas trop tard, modifier reparait...
Je voulais ajouter que, comme Caruso ou Corelli avant l'opération, ce qui chante en Josep Calleja n'est ni sa poitrine, ni sa tête, comme les fleurs, une expansion aussi émouvante que le pistil du crocus ou de l'hibiscus, cette chose veloutée à quatre pavés