Je rappelle deux choses :
1° dans son journal, Cioran s'extasiait sur le thème des Variations Goldberg (dont il n'est pas certain qu'il soit de Bach), thème qui, paraît-il, lui donnait un sentiment d'éternité, mais pas sur les variations, qui lui semblaient du formalisme creux;
2° il s'extasiait aussi sur l'horrible faux adagio d'Albinoni (à l'époque, on ne savait guère qu'il est faux).
En tout et pour tout, je crois qu'il nommait deux ou trois autres oeuvres musicales.
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