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Discussion: Son Midi

  1. #21
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    St Maurice de Beynost 01700 (15 km à l'est de Lyon)
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    Cela permettrait d'écarter bien des musiciens « métronomiques »… La liste est ouverte ! Jouer "en place " et sans faute ne suffit plus !

  2. #22
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    Citation Envoyé par Jean-François Voir le message
    Oui, je crois que la musique Midi est avant tout une passion, un travail personnel, qui permet d'approcher la musique comme seuls peuvent - pourraient - le faire la pratique d'un instrument, et ... la direction d'orchestre.
    Ca, ce pourrait être l'un des grands avantages du Midi : pouvoir faire de la musique sans savoir jouer du moindre instrument. On n'est pas pianiste, claveciniste, percussioniste, on est ... midiiste ?
    En tous cas, ce doit être super pour jouer la 7° symphonie de Haydn.
    Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 03/02/2012 à 22h40.

  3. #23
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    juin 2011
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    Avoir l'intelligence musicale et le goût nécessaires pour réaliser une bonne version Midi (dans l'hypothèse où le Midi serait un jour meilleur qu'aujourd'hui), cela pourrait suppléer largement des qualités contingentes comme la coordination nerveuse et musculaire.
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    Dernière modification par InnocentParadis ; 04/02/2012 à 11h50.

  4. #24
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    l'intelligence musicale
    En quoi cela consiste-t-il ?
    Merci d'avance !

  5. #25
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    juin 2011
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    C'est assez difficile à définir, mais j'ai toujours pensé qu'un signe de son absence est de faire docilement écho aux histoires de la musique (en matière de compositeurs) et à la presse (en matière d'interprètes) et de jouer un psychodrame quand quelqu'un contredit les hiérarchies établies dont on avait cru se faire un capital de respectabilité.
    J'espère que vous me saurez gré des efforts de clarification que mes sentiments pour vous m'ont dictés.
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  6. #26
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    Citation Envoyé par InnocentParadis Voir le message
    C'est assez difficile à définir
    C'est bien ce que je pensais ; d'où votre incapacité à définir ce dont vous croyez parler. Ce n'est qu'une confirmation. Définir une chose par l'absence même de cette chose dont on ne sait pas ce qu'elle est, voilà un raisonnement imparable.
    Mais ce peut être le ressort d'un comique tout aussi patent qu'involontaire. Ne vous retenez pas, cela semble faire les délices de certains !
    Bon week-end.

  7. #27
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    juin 2011
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    "Il y a longtemps que je pense que celui qui n'aurait que des idées claires serait assurément un sot" (Ximénès Doudan)
    Et encore plus sot celui qui exigerait une définition de chaque mot dont son interlocuteur se sert, comme si c'était possible sans cercle vicieux.
    IP

  8. #28
    Membre Avatar de Esperluette
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    janvier 2013
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    La fenêtre 'piano roll' du séquenceur où l'on voit les évènements MIDI défiler (note on, note off) nous rappelle les rouleaux de papier des légendaires Pianola.

    L'expression 'son MIDI' utilisée dans le titre de la conversation est impropre, il n'existe pas de sons MIDI. Les éléments constituant une séquence MIDI ne contiennent aucune donnée physique du son et sont destinés à piloter un instrument de musique dont la facture et les qualités musicales varieront selon le type (synthèse, échantillonnage, modélisation...). L'on notera que la firme Yamaha, depuis quelques années, commercialise une gamme de pianos baptisée 'Disklavier'. Une séquence MIDI peut parfaitement être réalisée avec ce type de piano parfaitement réaliste puisqu'il qu'il s'agit d'un 'véritable' instrument'. Des orgues ou des clavecins ont été 'midifiés' artisanalement.
    Dernière modification par Esperluette ; 17/03/2013 à 09h44.
    &sperlutations

  9. #29
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    juin 2011
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    Voici encore une interprétation d'un morceau de clavecin obtenue synthétiquement (Sibelius 7.5 et Note Performer 3, l'auteur de la vidéo le dit en réponse à un commentaire) :


    Josse-François-Joseph Benaut (1741-1794) - Elevation 'Puer nobis' avec variations (c.1776)

    De nouveau, le son me semble plus beau que celui de pas mal de clavecinistes en chair et en os.
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  10. #30
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    Quelle idée saugrenue d'avoir enregistré une 'Elévation', pièce par définition religieuse, avec un son de clavecin, instrument par définition profane.
    Alors que Bénaut a laissé tant d'autres pièces spécifiquement écrites pour clavecin, sans grand intérêt d'ailleurs, et qu'il était organiste autant que claveciniste mondain.
    Le son ? Quand on n'a pas d'oreille, ça peut faire illusion. Sinon, c'est ou bien à pleurer ou bien à mourir de rire. Je suis sûr qu'il y aurait même des petits rigolos pleins de poils pour dire que c'est supérieur à un Hemsch, un Couchet, un Donzelague, un Taskin ou un Ruckers enregistrés avec la prise de son qui y sied - pour ne citer que ceux-là.
    Mais il en est à qui rien ne fait peur, le ridicule moins encore que toute autre chose.
    Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 14/07/2020 à 17h31.

  11. #31
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    Citation Envoyé par The Fierce Rabbit Voir le message
    Alors que Bénaut a laissé tant d'autres pièces spécifiquement écrites pour clavecin, sans grand intérêt d'ailleurs.
    Ses pièces pour orgue, en tout cas, ne semblent pas déplaire à tout le monde :

    "On y découvre aussi avec gourmandise quatre pièces de Josse François Joseph Benaut"
    (Christine Ducq, La Revue du spectacle, 22 Janvier 2015, au sujet du disque d'Olivier Baumont "Les Ombres heureuses. Les organistes français de la fin de l'Ancien Régime", Collection "Tempéraments", novembre 2014. Radio France Éditions.
    Distribution : harmonia mundi.)
    https://www.larevueduspectacle.fr/Le...IIe_a1272.html[/QUOTE]
    Dernière modification par InnocentParadis ; 14/07/2020 à 18h02.

  12. #32
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    Ici :
    https://vagnethierry.fr/olivier-baum...ancien-regime/
    Thierry Vagne trouve que tous les morceaux figurant sur le disque de Baumont sont "quite relishing".

  13. #33
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    Toutes les opinions sont respectables, même les plus idiotes.

    Pour revenir aux charmes du son midi, je recommande ceci, un régal absolu sans rival aucun.
    La Philharmonie de Vienne et le Concertgebouw relégués au rang d'orphéon de village !


  14. #34
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    Va te rhabiller, Volodya ...


  15. #35
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    Leonard, t'étais grave nullos, quand même ...


  16. #36
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    Voici une chaîne YouTube consacrée au clavecin numérique :

    Henry Purcell (1659-1695): Suites 1 & 2


    J'aime bien le mot "idiotes" venant de quelqu'un qui nous sert du Ennio Morricone.

  17. #37
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    Ça, franchement, non :



    Là au moins, on retrouve bien l'oeuvre (bon, faut faire l'impasse sur la 2° partie, c'est qu'une fugue, hein ...) :




  18. #38
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    Quand on écoute ceci à 22:54




    on comprend en quoi c'est mieux qu'ici


  19. #39
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    Il m'a semblé voir - je ne sais trop où sous la plume de je ne sais trop quel clampin - qu'une chaîne était consacrée au clavecin numérique.

    Passer des heures à faire ça, il y a vraiment des gens qui ont du temps à perdre.
    Mais c'est très bien. Vraiment.
    Il n'est que justice que les handicapés du pavillon, du conduit auditif, du tympan, du marteau et autres osselets, et autre composants de l'oreille externe comme interne - sans parler de tout le circuit neurologique afférent - puissent trouver compensation à leur handicap.
    Bravo à qui leur procure ce vomissable ersatz de ce qu'est la musique.

    J'aime bien le mot "idiotes"
    J'espérais sincèrement que cela plairait aux déficients non plus de l'oreille, mais des neurones, qui y percevraient immédiatement un écho à leur handicap qu'ils brandissent si fièrement en bannière. Heureux d'avoir mis dans le mille et de leur avoir fait plaisir, c'était si facile et si peu de chose !
    Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 14/07/2020 à 22h26.

  20. #40
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    ... Le son ? Quand on n'a pas d'oreille, ça peut faire illusion. Sinon, c'est ou bien à pleurer ou bien à mourir de rire. Je suis sûr qu'il y aurait même des petits rigolos pleins de poils pour dire que c'est supérieur à un Hemsch, un Couchet, un Donzelague, un Taskin ou un Ruckers enregistrés avec la prise de son qui y sied - pour ne citer que ceux-là.
    Mais il en est à qui rien ne fait peur, le ridicule moins encore que toute autre chose.
    Bonjour, je viens apporter mon grain de sel et un peu de mon expérience sur ce sujet tant au niveau de l'échantillonnage car je ne connais que très peu le système MIDI, donc je ne parlerai que d'une infime partie de l'utilisation de ce système.
    Tout d'abord, effectivement, MIDI ne concerne pas la qualité sonore mais seulement un système de commande complexe !
    Il y a quelques années, Anne a voulu se faire construire un petit orgue d'étude de deux claviers-pédalier et cinq jeux.
    Devant la médiocre qualité mécanique et avec des défauts grossiers de conception (profondeur de gravure, calcul du vent etc. etc.) nous avons obtenu le remboursement et le facteur est reparti avec son instrument dans sa camionnette ! Ce fut en quelque sorte : « mon Dieu, préservez- moi de mes amis ».
    Par la suite, nous avons donc opté pour un système Hauptwerk avec une console MIDI à quatre claviers-pédalier, un ordinateur puissant avec surtout 32 Go de RAM et un SSD. La reproduction sonore était assurée par des enceintes actives EVE-Audio et un caisson de graves Focal.
    Il nous suffisait d'acheter les banques sonores que nous désirions. Nous avons donc choisi, parmi les instruments disponibles, ceux que nous aimons bien et que nous avions visités et parfois joués : St Maximin la Ste Baume, Zwolle, St-Michel en Thiérache, Roquemaure, Freiberg (PetriKirche Gottfried Silbermann), Stade (Arpt Schnitger), Ebersmunster (Andreas Silbermann), Brescia (Antegnati) et Aix-en-Provence (Ducroquet-Cavaillé).
    Tous ces instruments ont été échantillonnés c'est-à-dire enregistrés jeu par jeu et note par note. La restitution, dans l'acoustique du lieu reste assez fidèle et cela équivaut à la restitution d'un CD très bien enregistré.
    En fait, je trouve que l'orgue se prête fort bien à l'échantillonnage ( petit détail: l'échantillonnage de l'orgue de Zwolle en 20 bits de dynamique occupe 24 Go sur le disque dur et donc, pendant l'utilisation, dans la mémoire RAM !) ; en effet la restitution de plusieurs notes à la fois ne modifie pas les caractéristiques sonores de l'instrument par rapport à l'addition de l'émission note par note et jeu par jeu.
    Les résonances du buffet de l'instrument ne sont pas plus déterminantes pour une note que pour un accord ou une polyphonie… En tout cas, le résultat est fort satisfaisant.
    Le toucher des claviers Fatar l'est moins mais guère moins que celui d'un instrument réel à transmission électrique.
    Pour le clavecin, il en va tout autrement !
    Ayant une longue expérience non seulement de son enregistrement mais aussi de son entretien et de la facture de clavecin et ayant « fréquenté » un grand nombre d'instruments célèbres (Donzelague Lyon, Ruckers de Colmar, Ruckers de Neufchâtel (instrument ravalé par un facteur français de grande renommée), les clavecins de Claude Mercier Ythier : Hemsch 1754 et Ruckers 1628, la plupart des instruments du musée instrumental de Berlin , celui de Munich, de Nuremberg, de Leipzig et de Bologne, etc.… J'avoue ne pas être satisfait des enregistrements que j'ai pu réaliser !
    Cependant j'ai pu, dans mes enregistrements, j'ai pu faire passer les caractéristiques sonores particulières de chaque facteur , bien souvent, hélas, au détriment de la séduction sonore… mais je pense que, pour conserver ces caractéristiques et avoir une restitution agréable pour l'auditeur, c'est quasiment missions impossible !
    Vous pouvez imaginer que je possède un grand nombre d'enregistrements de clavecin et je n'ai pas trouvé autre chose que de restitution « agréables » ! En effet, bien souvent, les instruments sont enregistrés de très près avec des micros omnidirectionnels ; cela permet de donner un son très précis et, malgré tout, de capter l'ambiance de la salle.
    Dans ces conditions, pour qui a fréquenté « assidûment » les instruments et les facteurs, l'excès de précision et d'attaque dans l'enregistrement signe tout de suite une prise de son à moins d'1 m des cordes et, bien souvent près des sautereaux dont on entend beaucoup trop le déclic ! Si on éloigne les micros, se pose le problème de l'harmonie entre la réflexion sonore du couvercle, du lieu d'enregistrement… Et de l'harmonisation du clavecin qui n'est pas toujours parfaite.
    Malgré tout, je n'ai jamais pratiquement pu reconnaître les caractéristiques d'un instrument voire même les caractéristiques esthétiques entre clavecin flamand allemand , français 17e et 18e voire même italien tellement le son était trafiqué pour le rendre « esthétique » !
    Beaucoup de virtuoses préfèrent une taille douce des becs,voire à la limite de l'audible ( mais les micros corrigent tellement bien) ce qui favorise la virtuosité et diminue les risques d'inégalité de toucher au clavier !
    Maintenant, venons-en à la particularité de la facture de clavecin : instrument très léger (sauf les Pleyel) avec une table d'harmonie mince mais souvent affinée sur les bords et autour des chevalets pour un meilleur rendu sonore ; de plus, le barrage de la table ainsi que l'architecture de sa caisse influe grandement sur le son et la capacité dynamique de l'instrument ! Si vous avez la curiosité de regarder les plans d'un instrument flamand, d'un français XVIIIe siècle, d'un allemand XVIIIe siècle et d'un italien, il s'agit de quatre mondes différents.
    Faire un échantillonnage qui impose l'enregistrement note par note constitue donc une hérésie car la table d'harmonie réagit différemment selon le nombre de notes jouées.
    C'est là, à la fois la bonne surprise de la clarté des 10 premières secondes d'audition puis la lassitude de la monotonie car il n'y a pas de variation de couleur dûe à la mise en résonance de la table de façon différente selon la région jouée sur le clavier.
    Quant à l'interprétation, il y a tellement de clavecinistes qui jouent comme un système MIDI que cela ne me gêne plus (j'ai reçu quelque critique sur le forum à ce sujet…).
    On retrouve d'ailleurs cette même tendance pour l'orgue, surtout et aussi pour le piano (conséquence des concours internationaux qui ne sont bien souvent que des épreuves de virtuosité avec quelques références aux membres éminents du jury car il faut bien aller faire sa cour avant de se présenter - cela me rappelle un certain scandale de Martha Argherich au concours Frédéric Chopin de Varsovie si mes souvenirs sont exacts…) !
    Curieusement, l'enregistrement du piano m'a toujours semblé plus facile… d'une part, par mes propres enregistrements mais aussi quelque CD ou SACD notamment chez Lyrinx par un passionné de l'enregistrement et du piano.
    Lorsque l'enregistrement est bien réalisé, on peut facilement différencier le Steinway standard du merveilleux Bösendorfer et de l'exceptionnel Fazioli (écoutez Angela Hewitt dont le grand Fazioli unique, sur commande, vient de finir sa vie dans des escaliers…), sans oublier les extraordinaires français de Stéphen Polello dans l'Yonne, à Villethierry. J'ai d'abord connu ses cordes par une restauration d'un Bechstein… Et j'ai eu la chance de l'entendre avant et après changement des cordes !
    Ma conclusion ? Il y a toujours une trahison quelque part !
    Peu de gens peuvent entendre en réel les instruments à une place privilégiée dans le local de grande qualité comme le MusikVerein de Vienne ou la salle de musique de chambre du philharmonique de Berlin, par exemple (mais il y en a encore, heureusement, quelques autres !) .
    Je ne lis plus les revues spécialisées de critique de disque car il y a de quoi, sur ce sujet là notamment, de toucher de près l'imposture.
    Je me souviens avoir cloué le bec à un passionné de Hifi , il y a bien longtemps, qui pérorait sur la qualité extraordinaire et différente des becs en plumes par rapport aux becs en Delrin d'un enregistrement de clavecin ; le pauvre était franchement mal tombé : nous venions de faire des tests aléatoires sur la copie de Hemsch d'Anne , de becs en Delrin et en plumes (j'ai la chance de ne pas habiter très loin du parc des oiseaux de Villars les Dombes) ; je lui ai donc proposé de venir écouter, à la maison, et si il faisait la différence entre les deux, une repas chez Bocuse ! « Les oreilles d'or » se sont très vite dégonflées !
    Lorsque le Delrin est bien taillé , il n'y a aucune différence ni au toucher, ni au son ! Simplement, trois mois plus tard, les becs en plumes s'affaiblissent progressivement alors que les becs en Delrin cassent d'un seul coup, sans prévenir mais bien plus tard (entre un et cinq ans) ; pour la petite histoire, il y avait à Versailles, un préposé à plein temps pour l'emplumage et l'accord des clavecins…
    Maintenant, pour l'orgue Hauptwerk, à part le toucher dégueulasse des claviers Fatar (mais il existe maintenant d'autres productions qui permettent d'avoir une sensation très proche d'un clavier mécanique parfait), il y a beaucoup de plaisir à passer de Stade pour une pièce de Buxtehude, d'aller à Freiberg ou Zwolle pour Bach, à Saint Maximin la Ste Baume pour du Marchand ,François Couperin , à Brescia pour du Frescobaldi … Tout cela en moins d'une heure avec une vraisemblance, au moins des timbres assez extraordinaire !
    Bien cordialement
    Dernière modification par Jean DUBAR ; 15/07/2020 à 10h00. Motif: correction orthographe et mise en page

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