Merci à Innocent Paradis pour le lien sur la Damnation de Berlioz (ouarf). Moi aussi j'adore cette oeuvre, et je suis très surpris que la version de Munch ne soit même pas mentionnée. Pourtant, ne répond-il pas à ces critères définis par l'auteur?
"My works require a combination of irresistible verve and the utmost precision, a controlled vehemence, a dreamlike sensitivity, without which the essential character of my phrases is falsified or even obliterated.”
C'est particulièrement vrai de la fugue, où le grand Charles (re-ouarf) arrache les masses orchestrales et chorales à leur inertie comme personne.
Bon, j'en appelle à l'arbitrage des musiciens qui habitent ce forum...
Bach? Un certain Glen me donne effectivement l'impression d'une mécanique. Mais un Edwin Fischer me fait oublier qu'il joue du piano, alors...
Colette: dans une lettre à une amie de Pont-L'Abbé (si, si), elle fait fort joliment l'éloge du bon beurre Breton. Elle est donc hors-concours d'office pour moi!