Envoyé par
co2monamour
Je n'ai suivi ce spectacle qu'en partie et rétrospectivement, je suis tout-à-fait en accord avec la critique de D. Le Marrec que vous indiquez, sauf peut-être pour ce qui concerne l'orchestre : certes, il est cohérent avec la mise en scène que l'orchestre se contente de soutenir les chanteurs, mais l'écriture orchestrale de cet opéra est tellement fouillée et géniale que le relatif effacement de S. Cambreling (et le choix des tempi, le plus souvent un poil trop rapides et parfois trop lents, notamment dans l'air de Guglielmo "a tanti") m'a fait l'impression qu'il manquait quelque chose pour que mon bonheur soit complet.
Musicalement,
l'obsédé-des-incunables