Le peu que j'en ai entendu m'incline à penser que, effectivement, la formule actuelle est plus réussie que la précédente. Je dirais même que c'est la plus aboutie depuis l'époque où un Antoine Goléa assénait ses jugements à l'emporte-pièce sans aucun égard pour les goûts des uns et des autres.
En sautant sur une occasion en or, à savoir l'intégrale Kamu/Karajan de l'œuvre symphonique du finlandais en coffret vinyle (sous cellophane!) pour treize euros + port, j'ai pensé à tous ces censeurs qui voudraient nous dégoûter, voire interdire l'accès à, d'authentiques œuvres d'art, parce que leur intellect est verrouillé sur une conception toute formelle de l'art.