Envoyé par
Olivier Chauzu
Quand on aborde les grands Chopin, Brahms, Liszt, avant de se faire une SO-NO-RI-TÉ dans les choses plus claires, plus classiques, on arrivera certes à un résultat correct, voire bon, mais on n'ira pas plus loin. La sonorité, les plans sonores, le son personnel qui est fonction de la morphologie, c'est les oeuvres de Bach, de Mozart, de Haydn, de Clementi, de Rameau, de Couperin, qui les donne, en vertu de cette acuité digitale et cette précision acoustique qu'ils requièrent.