Benvenuto Cellini, ouverture pour orchestre, op. 23, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam, Pierre Monteux (1939)
Benvenuto Cellini, ouverture pour orchestre, op. 23, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam, Pierre Monteux (1939)
Benvenuto Cellini, ouverture pour orchestre, op. 23, Orchestre national de France, Désiré-Émile Ingelbrecht (1956)
La comparaison n'est pas vraiment possible: Ingelbrecht bénéficie d'un son nettement plus clair. Monteux met le feu à la partition, mais a priori c'est too much; est-il permis d'avancer que l'orchestre français paraît bien plus "at home" dans cette musique? On entend bien plus de choses. Est-ce seulement grâce à l'écart de qualité technique de l'enregistrement/gravure?
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