Dans mon lointain souvenir, c'était une idée d'Igor Markevitch (ça ne veut pas dire qu'il a forcément raison, préciserais-je).
Tout ça ne répond pas à la question: comment doit-on considérer l'intrusion de solistes et d'un chœur dans une œuvre symphonique, sans parler du "résumé" des trois premiers mouvements de la symphonie au début du quatrième, toutes choses que nous avons dans la 9e? Bouleversements ou épiphénomènes?