(et l'article évoque les couvertures aguicheuses d'instrumentistes ; je vous avouerai que je suis plus choqué par les robes fendues de je ne sais plus quelle pianiste chinoise que par le fait qu'on demande à une chanteuse de se dénuder pour chanter Lulu. Evidemment si c'est pour le Dialogue des Carmelites, je trouverai que le metteur en scène déconne, mais ce ne sera ni le premier ni le dernier)