Mathieu Dufour, Kuang-Hao Huang
Mathieu Dufour, Kuang-Hao Huang
Vincent Lucas
Op. 77a
Peter-Lukas Graf, flûte - Sandor Vegh, violon - Rainer Moog, alto
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Op. 141a
Fabrizio Merlini, flûte - Roberto Pappalettere violon - Claudio Maffei alto
L'enregistrement de Il est cinq heures, Paris s'éveille, fut marqué et son succès par l'intervention, déterminante, d'un flûtiste classique : Roger Bourdin (notoriété ici).
Dutronc, Lanzmann et Anne Ségalen, à l'époque épouse de Lanzmann, écrivent le tout en une nuit.
Le résultat ne leur plaît pas : les arrangements sont pauvres et peu harmonieux ...
Roger Bourdin, qui travaille alors dans un studio proche du leur, intervient alors et improvise un solo de flûte en une seule prise qui donnera la version finale de la chanson :
J'adore cette chanson, notamment bien sûr pour le solo de flûte! Instrument pas si fréquent dans la musique de variété, le rock, la pop, le jazz, je trouve!
Un contre exemple, que je ne mettrai certes pas dans mes musiques pour flûte préférées, mais simplement pour information ; un ami tentait, quand nous étions ado, de me convaincre que Jethro Tull c'était bien. La flûte arrive un peu avant la 3e minute, je crois. Je trouve ça moins pire qu'à l'époque mais enfin ce n'est toujours pas mon truc. Comme le chef de Jethro Tull est flûtiste, il doit y avoir des solos plus spectaculaires, mais c'est le seul titre que je me rappelle.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Je n'ai délibérément pas mis d'oeuvres des flûtistes compositeurs (je pense notamment à Philippe Gaubert), non que je les trouverais nulles, mais je ne les connais guère, et je me suis limité à mes musiques préférées. Même si je ne les préfère pas toutes autant, bien sûr! (et si j'ai dû en oublier une ou deux)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Mea maxima culpa. Je n'ai pas eu cette sagesse. J'avoue m'être laissé entraîner au-delà de ce que je connaissais déjà, l'attrait de la découverte de proche en proche au hasard du browsing, j'ai ainsi pu entendre des choses inconnues qui m'ont plu ou intéressé ou ont juste accru ma connaissance. C'est mal.
Je ne le ferai plus. "Promise".
Ah mais si vous avez découvert et que ça vous a plu c'est parfait, je n'ai pas eu cette curiosité, spécialement pour les compositeurs flûtistes, je dois dire.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Je reviens brièvement sur ce titre de Dutronc ... et je fais mon mea culpa ! car c'est bien moi qui ai utilisé le premier le terme de « solo de flûte » ... alors que ce n'est pas du tout un solo ! la flûte de Roger Bourdin étant présente du début jusqu'à la fin du titre en accompagnement ... Ce titre est tellement mythique qu'on a peine à l'imaginer sans cette présence de la flûte ... alors que c'était ce que les auteurs avaient prévu au départ !!!
Quant à Jethro Tull oui, ce groupe faisait partie de ceux que les amateurs de rock (dont je faisais et fais toujours partie) admiraient ...
Le flûtiste, Ian Anderson était un multi-instrumentiste autodidacte, qui auparavant avait été attiré par la guitare mais qui s'était ensuite orienté vers la flûte traversière sur le conseil d'Eric Clapton, qui lui avait dit (sur le mode de la rigolade) qu'Anderson n'arriverait jamais à jouer de la guitare aussi bien que lui, Clapton
C'est ainsi qu'Anderson devint, en effet, l'un des rares à utiliser la flûte dans la musique rock. Le morceau qui lui valut la plus grande notoriété s'intitule Bourée :
Oui tu as raison ce n'est pas stricto sensu un solo ; il doit bien y avoir un terme, en musique de chambre, pour ça... il ne me vient pas, là tout de suite.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Puisque la flûte fait plus qu'accompagner :
(Hark, 'tis the linnet and the thrush! (Handel) Julianne Baird)
Hark, 'tis the linnet and the thrush! from the oratorio Joshua, HWV 64
by George Frideric Handel (1685-1759)
Julianne Baird, soprano; Brewer Chamber Orchestra; Rudolph Palmer, conductor
IP
Gladys Avignon performs Corentin Boissier’s "Sonata for Flute and Piano"
Corentin Boissier: « Sonata for Flute and Piano » (2018)
Flutist: Gladys Avignon; Pianist: Corentin Boissier
1- Introduzione ed Allegro (4.29) 0:10
2- Fantasia notturna (6.36) 4:42
3- Rondo scherzoso (5.08) 11:23
Recorded at Studios Malambo, February 2020.
A propos de Corentin Boissier :
"In the spring of 2019 she (Valentina Seferinova) recorded orchestral and solo works by the young award- winning French composer, Corentin Boissier, under the baton of multi-nominee and Grammy Award winning Conductor John McLaughlin Williams, with the Ukranian Festival Orchestra."
https://www.solentso.org.uk/page15.html
(The soft complaining flute (Handel) Lucy Crowe)
The soft complaining flute from Ode for St. Cecilia's Day, HWV 76
by George Frideric Handel (1685-1759)
Lucy Crowe, soprano; Florian Cousin, flute; Les Musiciens du Louvre under Marc Minkowski
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