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Compte tenu de cette première vidéo, j'ai failli intituler le fil : "cadences infernales". N'empêche : ce n'est pas si mal vu!
Compte tenu de cette première vidéo, j'ai failli intituler le fil : "cadences infernales". N'empêche : ce n'est pas si mal vu!
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Tout à fait savoureux ! Final laborieux comme certains de Ludwig !
Le Colonel Bogey, Ricketts/Alford et Malcolm Arnold doivent se retourner d'aise !
Sans compter que le pianiste n'est pas si manche ...
il a eu un premier d'orgue au Magdalen ("maudlin"...) College d'Oxford, lis-je à son propos sur Wikipedia
Dernière modification par lebewohl ; 08/08/2017 à 13h12.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Allez... une deuxième vidéo, que j'ai sûrement déjà mise, mais "je l'adore trop", comme on dit. Et, pour une fois, c'est de la variété pastichée façon classique, avec de vrais morceaux de Fauré dedans, plutôt que l'inverse
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Très chouette ! Il faudrait étendre le concept à d'autres immortelles pièces musicales, 'Les Palétuviers Roses', 'YMCA', 'Only you', 'Viens Poupoule', ...
Il en est capable. .. Son site est plein de partitions assez facétieuses (de lui)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Bon là c'est du pastiche pas forcément fait pour faire rire...
l'original, le thème commence à 1mn30s à peu près :
le premier pastiche, cela commence à 7mn55s :
le pastiche du pastiche (apparemment l'auteur ne connaissait pas l'original!), à partir de 2mn14s ; dans la version dans laquelle j'ai découvert cette oeuvre, l'auteur des notes, dans le Hungaroton de la République populaire de Hongrie, expliquait avec conscience que Bartok entendait dénoncer "l'affèterie petite-bourgeoise" (à moins que ce n'ait été à propos du dernier mouvement du divertimento, qui a aussi un épisode de ce genre, mais bon...)
Dernière modification par lebewohl ; 08/08/2017 à 12h38.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Quelles qu'en soient les raisons, être ainsi pastiché me semble tout à la gloire de Lehar. Tout à fait délectable. Je n'avais pas repéré.
Vive les pastiches !
(Les linguine au pesto de pastiche, c'est un régal. - Je ne vous infligerai aucun pasticcio de votre idole GFH. - Quel pastis, tout ça ...)
Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 08/08/2017 à 14h36.
Je ne suis pas sûr que Chostakovitch ait conçu ça comme un compliment pour Lehàr, c'était l'ennemi, qui était dépeint dans cette marche infernale - et quel ennemi (je viens de lire un article sur cette symphonie, l'histoire est encore plus ahurissante que ce que j'en savais).
Et Bartok, selon Dorati, ne connaissait ni Lehar ni la Veuve joyeuse (pourtant une star et un tube), et pastichait Chostakovitch, car il trouvait excessif, malgré les circonstances historiques, le succès de la 7e symphonie.
(pesto de pastiche?)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
J'ai bien dit ´quelles que soient les raisons'. On n'a pas pris comme emblématique une musique genre marche, hymne plus explicitement nationaux, mais cela et pas autre chose. Même si c'est par dérision.
Ah zut, j'ai eu du mal avec le a et le i ...Envoyé par lebewohl
(Recette sur demande !(Ah zut, j'ai eu du mal avec le a et le i ...)
Je prends!(Recette sur demande !
Oh vous savez, moi, ce que j'en dis, hein...
So do I
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
C'est en fait très simple ; le pesto (philologiquement peaudelapinesquement de 'pestare', frapper, écraser, broyer) ligure est le plus connu (base pignons/basilic), celui-ci est une variante d'origine sicilienne.
Prendre des pistaches non salées - si possible siciliennes, si on veut faire dans l'authentique pur et dur, mais californiennes ou iraniennes ou tout autres iront aussi bien !
Une fois décoquillées et les membranes pourpre/violacée qui recouvrent l'amande ôtées au mieux, les broyer au mortier/pilon - là aussi, si on veut de l'authenticité 100% ! - mais en passant au mixer, ça va plus vite et le résultat est très bien aussi.
L'avantage du pilon, c'est que ça laisse de petits morceaux qui mettront du croquant en bouche lors de la dégustation.
Saler, théoriquement au gros sel qu'on pile en même temps - mais le sel fin va très bien. Idem pour le poivre.
Ajouter ensuite peu à peu, en touillant, de l'huile - d'olive pour l'authenticité etc. etc. !, mais si l'on n'aime pas l'huile d'olive ou qu'on craint que le goût n'en masque trop celui des pistaches, une huile plus neutre est possible. Moi je reste fidèle à l'olive si elle n'est pas trop puissante.
Même chose pour l'ail, dont on peut ajouter une pointe légère, sauf si l'on craint le goût ou qu'on veut laisser l'arôme de pistache sans concurrence. Moi, je n'en mets pas.
Certains ajoutent du basilic, quelques feuilles, moi je ne le fais pas, je réserve ça au 'genovese'.
On peut ajouter du parmesan ou/et du pecorino 'grattugiati' directement dans la préparation, moi je le sers à côté, toujours pour la même raison si l'on veut goûter le pesto 'nature'.
D'aucuns y ajoutent même un peu d'écorce de citron râpée (eh oui, la Sicile).
On l'aura compris, on peut imaginer des variantes ad libitum autour de la base pistaches/huile/sel/poivre.
J'ai parlé de linguine, mais bien sûr spaghetti, trenette, bavette et toutes autres sortes de pâtes longues conviennent très bien.
Cela se conserve bien au réfrigérateur. Il paraît qu'on peut aussi congeler, mais je ne m'y suis jamais risqué !
En définitive, on peut aussi faire du pesto de noix, d'amandes, de noisettes, etc. (mais peut-être pas d'arachides, quand même ...)
Buon appetito !
Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 09/08/2017 à 10h48.
Merci!
et on met ça directement sur les linguine fraîchement (si j'ose dire) sorties de l'eau bouillante?
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Bon je devrais dire ça dans un autre fil mais... c'est aujourd'hui l'anniversaire de la création de la 7e symphonie de Chosta (voir le lien ci-avant) à Leningrad, en plein siège.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
My pleasure !
Oui, on cuit al dente, on égoutte, on met un "schluck" d'huile d'olive pour que ça ne colle pas, on met en assiettes creuses, on pose le pesto dessus, on mélange, et on déguste !
´Fraîchement', si on a des pâtes fraîches, c'est d'autant mieux
Merci!
Oh vous savez, moi, ce que j'en dis, hein...
un schluck d'huile d'olive, c'est un concept!
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
C'est pour commencer à préparer les esprits, entreprise de longue haleine et ardue s'il en est, il faut donc commencer tôt.
Des météorologues nous prédisent qu'au train actuel, on cultivera dans le 67/68 vers 2050 de la syrah et du grenache en lieu et place du klevener et du sylvaner qui auront migré dans le Northumberland et le Jutland.
Alors autant poser tout de suite des jalons pour la pure huile d'olive vierge première pression à froid Grand Cru Ste-Odile d'ici deux ou trois décennies.
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