Il y a deux cent trente-sept ans, Goethe écrivait un poème promis à une certaine notoriété.


Über allen Gipfeln
Ist Ruh,
In allen Wipfeln...
Spürest du
Kaum einen Hauch;
Die Vögelein schweigen im Walde.
Warte nur, balde
Ruhest du auch.


Par-dessus les sommets
Il y a la paix
Au-dessus des cimes
Tu sens
À peine un souffle ;
Les petits oiseaux font silence en forêt,
Attends un peu, bientôt
Toi aussi tu te reposeras