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Dvorak a cent soixante seize ans.
Un ou deux tubes un peu moins tubes que les tubes :
Il y a des gens qui savent jouer de la musique, quand même...
Dvorak a cent soixante seize ans.
Un ou deux tubes un peu moins tubes que les tubes :
Il y a des gens qui savent jouer de la musique, quand même...
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Ce concerto est magnifique, et fort indignement délaissé.
Mais voilà, ça vend pas. Et comme on ne le promotionne* pas trop ...
(*mais si, ça se dit - même que j'y ai entendu dans l'poste, alors hein ...)
Si on veut de la promotionnitude, il faut bien promotionner, hein
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Oui tout à fait d'accord. Notamment ce splendide second mouvement.Envoyé par The Fierce Rabbit
Il me semble qu'on entend rarement aussi cette sonate de Dvorak:
Merci à cette idée d'échange car cela permet de découvrir un autre visage de Dvorak. Je ne connaissais pas ceci:
Un Dvorak peut cacher un premier Yakov. Un Dvorak peut cacher un second Yakov. Cela fait sans doute un Dvorak peut cacher deux Yakov(s):
Je connaissais vaguement le premier. Je découvre le second, tout à fait remarquable. Mais je n'ai pas trouvé beaucoup d'informations sur ce violoncelliste...
Yakov Slobodkine (1920-2009). Lauréat du Conservatoire Tchaïkovski. Lauréat du concours international de Prague en 1950. Soliste de l'Orchestre Philharmonique d’Etat de Moscou de 1941 à 1995.
Fondateur du Quatuor Tchaïkovski avec Julian Sitkovetski, Anton Sharoyev et Rudolf Barchaï. Partenaire régulier de Goldenweiser, H. Neuhaus, Kogan, Guilels, Richter, Flier, Yudina, Guinzburg, etc. Il jouait un instrument de Franceso Ruggieri de 1696.
Il a réalisé de nombreux enregistrements, comme soliste et comme membre du quatuor Tchaïkovski, la plupart chez Melodiya.
Magnifiques, ces pièces pour piano!
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Merci
Vraiment, cela fait beaucoup de belles références. Dommage de l'entendre si peu...
En voici une autre, peut-être davantage connue. Et toujours par ce même interprète qui me séduit beaucoup:
On ne peut s'en étonner. Il fait partie des grands de sa génération dans son pays. Mais pour diverses raisons il n'eut pas la carrière des Richter ou Guilels, dont il fut à de nombreux dires au moins l'égal. Rodion Chtchedrine, dont il fut le professeur, disait qu'à son avis, il ne le cédait qu'à Horowitz, que c'était un génie naturel du piano.
Il est mort en 1977, mais rien à craindre, il n'envahira pas les bacs par des rééditions tapageuses, bien qu'il ait pas mal enregistré, pour Melodiya surtout, et quelques autres mais dans une moindre mesure.
On est est à 2 Yakov : jamais 2 sans 3, je vous propose un 3°, une légende "de là-bas" lui aussi (c'est juste pour le fun, je ne l'ai pas trouvé dans Dvorak ; il est bien représenté sur YT) :
Ceci n'est pas désagréable ...
et ceci un quasi-tube (enfin, n'éxagérons rien !)
et ceci s'écoute aussi sans se forcer :
Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 13/09/2017 à 15h35.
Tenez, dans Dvorak, un pianiste qui ne court pas les rues, qui fut loin d'être parmi les plus mauvais de son temps, et que j'aime bien :
et avec deux compères pas parmi les pires non plus :
J'aime bien ces piécettes, pour un ensemble de chambre un peu atypique :
Josef Suk Violin, Ivan Ženatý, violons
Jan Talich Viola, alto (oui, le fondateur du célèbre quatuor)
Jiří Bárta, violoncelle
Josef Hála, harmonium
Quelques pièces orchestrales pas très courues, en retrouvant un chef tôt disparu (et pionnier du 'renouveau baroque'), Fritz Lehmann (1904-1956).
Un autre fil m'a fait penser à ce Pigeon des Bois-ci :
Je me demande bien lequel...
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Ben en fait, on a l'embarras du choix ...Je me demande bien lequel...
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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