Il y a des lieds de Hugo Wolf que j'aime beaucoup, mais ce n'est pas le cas de Verborgenheit :
(Dietrich Fischer-Dieskau; "Verborgenheit"; Mörike-Lieder; Hugo Wolf)
Dietrich Fischer-Dieskau Baritone; Daniel Barenboim Piano; 1974
Claude Rostand, pourtant grand amateur de Wolf, en dit ceci : "Ni pour le poète ni pour le musicien ce n'est une grande page : beaucoup de sentimentalité grandiloquente au centre de cette romance de salon (qui fait toujours grand effet)."
C'est ce genre de grandiloquence qui me donne l'impression de faux sublime. (Dans le texte, il est question de se retirer du monde. Comme le rat dans son fromage, quoi.)
IP
Il y a des lieds de Hugo Wolf que j'aime beaucoup, mais ce n'est pas le cas de Verborgenheit :
(Dietrich Fischer-Dieskau; "Verborgenheit"; Mörike-Lieder; Hugo Wolf)
Dietrich Fischer-Dieskau Baritone; Daniel Barenboim Piano; 1974
Claude Rostand, pourtant grand amateur de Wolf, en dit ceci : "Ni pour le poète ni pour le musicien ce n'est une grande page : beaucoup de sentimentalité grandiloquente au centre de cette romance de salon (qui fait toujours grand effet)."
C'est ce genre de grandiloquence qui me donne l'impression de faux sublime. (Dans le texte, il est question de se retirer du monde. Comme le rat dans son fromage, quoi.)
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Avec en plus Fischer-Dieskau, ça n'allège pas le propos.
Toute révérence gardée pour DFD, que j'admire - mais 'pas inconditionnellement'.