Plusieurs retards, on voit plus ça dans les chemins de fer que sur les partitions, je trouve...
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Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Quant à la fiabilité d'internet, je lisais encore cette citation de Napoléon où il disait qu'il ne faut pas croire tout ce qu'on lit sur internet. Il avait bien raison.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Sinon ces sonates de Beethoven sont bizarres, en effet ; enfin ces interprétations. Ce n'est pas tant du rubato ni du ritardando que de l'instablité de tempo, ce qui est formellement interdit par les Textes.
Et l'oratorio de Pâques de Bach est beau, les bois sont magnifiques. L'an prochain on aura droit, je crois, à celui par Münchinger, pas forcément meilleur pour les bois mais avec des chanteurs encore meilleurs, je trouve. Je ne suis pas objectif sur cette version, pour être tout à fait honnête...
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
ça n'a rien à voir, mais une de mes indications musicales italiennes favorites (mais rare, et je ne sais pas quoi en faire, heureusement qu'elle est rare) c'est "lusigando" : en flattant, et plus encore "lusinghiere" : flatteur
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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J’ai enfin pris le temps pour l’écoute de ce Simone Boccanegra, que je ne voulais pas saucissonner. Quitte à radoter (on y est habitué, ici), je redis qu’il n’y avait pas que du côté étasunico-italo-hellène qu’on pouvait entendre de belles cantatrices en ces années-là. Côté turc, y’avait au moins aussi bien, sinon mieux, pour donner la réplique à Gobbi, Panerai & Co.Verdi: Simon Boccanegra - Tito Gobbi (Simon Boccanegra), Leyla Gencer (Amelia Grimaldi), Giorgio Tozzi (Jacopo Fiesco), Giuseppe Zampieri (Gabriele Adorno), Rolando Panerai (avait pas que du côté Paolo Albiani), Vito Susca (Pietro), Choeurs et Orchestre de l'Opéra d'Etat de Vienne, Gianandrea Gavazzeni (1961)
Mais la mode, le snobisme ...
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