(G.F. Händel - "Ombra mai fu" - Sara Mingardo, Accademia degli Astrusi, Federico Ferri dir.)
Air d'une tendresse extatique. Le mot "soave" apparaît à partir de 1:59.
IP
Cet air a des aspects suaves, je trouve
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Et cette pièce aussi (je ne l'ai pas trouvé en entier par ces interprètes)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Ah... nostalgie...
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Et ça, aussi ; suave et magique (quelle mélodie, et quelle voix)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
En matière de "suavité" (ça existe ce mot ?) ceci n'est pas mal :
Peut-on ne pas aimer cette chanson ?
(oui je l'avoue, je repars bientôt en Espagne, là où sont certaines de mes mes amours)
En tout cas, c'est dans le Quillet en trois volumes (édition 1946 -je bétonne mes positions!)
Le TLF dit que le mot est attesté depuis le XIII° siècle. Mais le TLF n’est pas un bon dictionnaire.
Est-ce suave?
Le même, quelques années plus tôt, cela l'était.
bon, je ne pense peut-être pas qu'avec ma tête, mais en matière de suavité...
You know what ?
Je viens de passer une soirée total suave, grâce à la télé ! Si, si, ça peut arriver.
Das Land des Lächelns (VST : Le Pays du Sourire), donné à Zurich, diffusé par 3sat.
Suave, vous dis-je, glorieux, lumineux, intelligent, comme plus aucune maison d’opéra ne saurait actuellement le faire en France.
Piotr Beczala - excusez du peu ... - en Sou-Chong, parfaitement à la hauteur d’un rôle exigeant taillé sur mesure pour rien moins que Tauber, maîtrisant tous les registres, avec des demi-teintes de rêve et des aigus triomphants.
Julia Kleiter, une Pamina, une Suzanne, une Sophie (Rosenkavalier), etc., tout à fait parfaite en Lisa.
Le reste à l’avenant, MeS intelligente, beaux costumes, rien de hideux ni d’émétique comme souvent. [Ça repose des indi/gestes/gents mais tellement à la mode, ma chère, Warlikowsky et autres Tcherniakov, sans parler du gâteux Kupfer qui ressasse ses obsessions ad nauseam et dont le Macbeth berlinois vu sur Arte il y a 2 jours était à pleurer.]
Le tout superbement conduit par Welser-Möst qui n’est plus à vanter.
Une soirée suavement rafraîchissante, vraiment ! Merci la Suisse, merci Lehar ! Si chez nous on en prenait de la graine ... (vœu pieux).
[Bon, j’ai dit tout ça comme ça, en passant, vu le désintérêt total à une ou deux exception près sur le forum, pour le lyrique en général et ce sous-genre viennois juste bon pour midinettes. Il est vrai qu’une ou deux exceptions, vu le total étique des participants réels, ça fait déjà un certain pourcentage !]
Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 23/06/2018 à 22h40.
Merci d'animer lapin carnivore
Dernière modification par sud273 ; 23/06/2018 à 23h04.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Duke Ellington et ses troupes (Solitude, 1950, je crois)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Une Valse lente par Germaine Tailleferre
(je dois cependant avouer que, de tout un disque de musique de piano par la moins connue sans doute des "Six", c'est la seule pièce qui ait vraiment attiré mon oreille)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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