Voici les recettes pour faire du Bach :
(How to Sound Like Bach (Happy Birthday))
Par Nahre Sol. Le morceau proprement dit commence à 1:56.
Voici les recettes pour faire du Bach :
(How to Sound Like Bach (Happy Birthday))
Par Nahre Sol. Le morceau proprement dit commence à 1:56.
C'est bien vu! Voilà des décennies que je rêve de savoir faire ce genre de trucs (le "sans peine" est un peu excessif, à mon sens...)
Sur le même thème :
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Sur ce pastiche de Wagner, un commentateur dit : "I feel like this is literally just using the Tristan & Isolde: Preludes chord progression with a few extra chromatic tones to round it out. Which is more like copy/paste rather than writing in the style of Wagner as a whole. Bit I'm in all actuality........ busting your balls. It was cool." D'autres commentateurs disent que c'est plutôt le style de Reger que celui de Wagner. N'écoutant ni beaucoup de Wagner ni beaucoup de Reger, je ne sais pas qui a raison.
YouTube a beaucoup de pastiches de grands compositeurs sur le thème de Happy birthday to you.Voici qui serait plutôt pour le fil des tangos :
(HAPPY BIRTHDAY TANGO NEW YORK SUBWAY)
(chaîne yahir vardi)
IP
Cela me semble tout à fait dans le style de Wagner, mais c'est vrai que ce n'est pas une composition très élaborée, plutôt un piallge ; mais c'est drôle.
En tout cas c'est une série de "à la manière de" qui m'a donné, voici longtemps, l'envie de me mettre à la musique ; les bons jours j'arrive à faire un accompagnement textatique alla Messiaen (do mi so la plqué à la main gauche, ça amrche très bien) mais je ne vais hélas pas plus loin...
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
On verrait mieux ce topic dans «*Espace détente, anecdotes*» et autres billevesées - ce serait déjà ambitieux - que dans «*Compositeurs*», mais bon ... (comme on dit ces temps-ci, hein ... voilà, quoi ...)
"La lecture du pastiche est toujours d'un excellent profit pour l'analyse stylistique"
Michel Théron, La stylistique expliquée: La littérature et ses enjeux, 2017, trouvable par Google.
Ce qui est vrai pour la littérature est évidemment vrai aussi pour la musique. N'insistons pas.
IP
En tout cas, l'exercice a tenté les plus grands
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Ou encore
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Michel Théron, qui est une autorité de référence dans l’analyse musicale, parle d’or.
C’est si vrai que considérant les millions d’œuvres qui n’ont jamais été pastichées, tous arts confondus, on mesure les immenses pertes que cela représente pour l’analyse stylistique de par le monde.
Pasticheurs/cheuses, au travail, il faut faire progresser l’analyse.
Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 24/05/2018 à 17h31.
La Sinfonia qui précède le récitatif initial dans cette version de la Cantate 158 de Bach a été composée par le chef d'orchestre Rudolf Lutz (voir les commentaires) :
(J.S. Bach - Cantata BWV 158 Der Friede sei mit dir (J.S. Bach Foundation))
Choir and Orchestra of the J. S. Bach Foundation Rudolf Lutz - conductor Soloist Bass: Peter Harvey Orchestra Conductor & cembalo: Rudolf Lutz
Je suis certain que tous ceux qui professent que Bach est un génie surhumain reconnaissent dès les premières mesures que cette musique n'est pas de Bach.
IP
Il y a actuellement 1 utilisateur(s) naviguant sur cette discussion. (0 utilisateur(s) et 1 invité(s))