Dieu me donne une amphore : un vers aux belles lignes
Leur bien premièrement, et puis le mal d'autrui.
Dont ils sont les maris, et le Turc l'adultere.
Valse mélancolique et langoureux vertige
Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 03/05/2019 à 15h04.
Un doux nenni, avec un doux sourire
Au demeurant, le meilleur fils du monde
A commencé de neiger sur ma tête
Winds of May, that dance on the sea
Petite sélection aléatoire, il y en a pas mal d'autres versions
Karol Szymanowsky (1882-1937)
Geoffrey Molyneux Palmer (1882-1957)
Luciano Berio (1925-2003)
Bernard Rands (1934- )
Alfred Heller (1931- )
Martyn Bates (1960- )
Le début du morceau de Berio me fait penser au passage des " Variations on a Original Theme" (1936) de Gordon Jacob qui, ici :
(Gordon Jacob - Variations on a Original Theme)
BBC PO/ Vernon Handley
commence à 14:00.
IP
Par opportunisme saisonnier, le mois de mai et la danse des vents sur la mer m’avaient tenté …
Deux autres vers des deux autres pièces de ce recueil que Berio a mises en musique :
Strings in the earth and air
All day I hear the noise of waters
Du même recueil, une autre pièce dont j’aime bien le texte :
I hear an army charging upon the land
Samuel Barber (1910-1981)
(et Sam Ramey !)
(tiré des ‘3 Songs’ op. 10 sur 2 autres poèmes du recueil)
David Rossow (1975- )
Et tous ces lieux communs de morale lubrique
L'hiver, saison de l'art serein, l'hiver lucide
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Et son corps odorant est nourri de secrets
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Oh ... le regard des statues ...
Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 29/07/2019 à 19h37.
Por una mirada, un mundo
Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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