Je suis tel qu'un ponton sans vergues et sans mâts
(et ça se confirme dans les vers qui suivent, que vous trouverez facilement par Google).
Je suis tel qu'un ponton sans vergues et sans mâts
(et ça se confirme dans les vers qui suivent, que vous trouverez facilement par Google).
Les songes de l'eau qui sommeille.
Et sur le pont des Reviens-t'en
Le long feu d'or qui file au ciel des nuits heureuses
Promenade au couchant, plus sombre à chaque allée.
J'ai serré trop de lofs, j'ai rasé trop de bancs
(Non, le troisième vers ne vient pas du Bateau ivre. Voyez Google.)
Non ; cela dit il n'y aurait pas de honte à citer le Bateau ivre, ce que, bizarrement, je m'apprêtais à faire (non que ce soit mon poème ni même mon poète préféré)
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Il y a de la belle poésie chez Rimbaud, par exemple les vers de Bateau ivre que vous citez, mais aussi pas mal de déchet. Dans les Illuminations, quelques fraîches impressions de nature sont perdues parmi des obscurités assenées sur un ton péremptoire de bluffeur et de morveux insolent. Les poésies diverses sont souvent d'assez plates obscénités telles que d'autres poètes de l'époque en vendaient sous le manteau. Je trouve regrettable qu'on ait sacralisé Rimbaud comme fondateur de la poésie moderne, ce qui me semble avoir engagé la poésie dans une impasse.
Quand je regarde Auguste au milieu de sa gloire
J'ai déjà cité : "Madame se tient trop debout dans la prairie". Je me demande si ce n'est pas un lointain écho de
The lady doth protest too much, methinks.
Neiger de blancs bouquets d’étoiles parfumées
(rectifié... )
Dernière modification par lebewohl ; 01/05/2021 à 12h14.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
ah oui... heureusement vous êtes là... je rectifie, merci
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Un blanc troupeau d’étoiles vagabondes
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Et dans le monde un homme de collège
Père du doux repos, Sommeil père du songe
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Nul n'aura de l'esprit hors nous et nos amis.
Mais rien n'y fit : l'Amour n'est pas si dégoûté.
(Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe?)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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