Dimitri Borissovitch aurait cent quatorze ans
Dimitri Borissovitch aurait cent quatorze ans
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
On ne dira, ressassera, martèlera jamais assez tout l’immense intérêt qu’il y a à explorer la musique russe, tout confondu, compositeurs et interprètes.
Je ne suis pas arrivé à retrouver le YT d’origine (mais je suis nul, aren’t I) : soliste ? orchestre ? chef ?
Dernière modification par The Fierce Rabbit ; 30/12/2018 à 14h20.
Daniil Shafran au violoncelle, Kabalevsky lui-même au pupitre. L'orchestre je ne sais pas. Les spécialistes reconnaîtront la salle (conservatoire de Moscou ).
Il y a des trésors dans la musique russe et même soviétique, quelquefois c'est tout de même un peu toumeutche... d'un autre côté l'écriture sous contrainte est une des sources principales de réussite, mais pas forcément ces contraintes là. En même temps, comme on dit, certaines des oeuvres pompières ne sont pas si ratées. J'essaie d'en mettre une ci-après, il convient de porter une attention toute particulière aux paroles.
Dernière modification par lebewohl ; 30/12/2018 à 19h12.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Voilà. Je sais, elle a déjà circulé ici, cette cantate.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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