Il y a "Les quatre Saisons" de Vivaldi avec leur orage et leur pluie froide, et aussi "La Tempesta di mare", il y a l'orage de la "Symphonie pastorale" de Beethoven, il y a...
Si on recensait les musiques météorologiques que nous connaissons, en plus de cette liste non exhaustive de tubes?
Jardins sous la pluie de claude Debussy par exemple ?
L'orage de la Symphonie alpestre, haha
Dernière modification par JYDUC ; 07/12/2009 à 17h47.
Chemin de traverse !
J'adore cette chanson!
"ces pays imbéciles où jamais il ne pleut..."
Chemin de traverse parsemé de sucettes
Après France Gall ( 26 février 2010, Millenium Stadium! ) la Tempête de Beethoven !
Une vraie, pas sous un crâne!
Une brise plus douce! Et chaude, heu, très chaude, dirait l'père Dupanloup
Je disais donc "orage de montagne" façon Cecil B. de Mille:o)
Un peu de vent sur les touches:
et une tempête, encore une:
un peu de vent d'hiver:
et de vent entre les tombes!
Un orage de montagne comme celui ci ( Symphonie Alpestre ) soit on est dans un Refuge à l'abris soit on fume sa dernière cigarette !
Au chapitre des orages, mis à part la pièce de Liszt, il y a un concerto de Steibelt et un de Field. Le thème de Steibelt a également servi au cahier de variations constituant l'opus 1 d'Alkan.
Et si un peu de vent vous suffit, laissez-vous emporter par le deuxième des Trois Morceaux dans le genre pathétique op. 15, intitulé justement "Le vent", ou par l'étude liminaire de l'opus 39, "Comme le vent", du même Alkan. Ce sont des morceaux extraordinaires.
Et là ? A partir de 2'50. [/URL]
Frédéric
Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes.Proverbe Shadok
Formidable écossaise !
Une autre célèbre tempête !
ah tout de même!
(je ne peux accéder à Youtube pour le moment donc je n'avais rien mis ; si quelqu'un trouve le début du Vaisseau Fantôme, dans le genre...)
et aussi : Ce qu'a vu le vent d'Ouest, Des pas sur la neige, Jardins sous la pluie
Ah merci Irmah!
On "met en musique" le vent, la pluie, l'orage. Mais quelqu'un a-t-il mis en musique la torpeur estivale avec la même réussite que Verlaine :
Allégorie
Despotique, pesant, incolore, l'Eté,
Comme un roi fainéant présidant un supplice,
S'étire par l'ardeur blanche du ciel complice
Et bâille. L'homme dort loin du travail quitté.
L'alouette au matin, lasse, n'a pas chanté,
Pas un nuage, pas un souffle, rien qui plisse
Ou ride cet azur implacablement lisse
Où le silence bout dans l'immobilité.
L'âpre engourdissement a gagné les cigales
Et sur leur lit étroit de pierres inégales
Les ruisseaux à moitié taris ne sautent plus.
Une rotation incessante de moires
Lumineuses étend ses flux et ses reflux...
Des guêpes, çà et là, volent, jaunes et noires.
("Torpide" dans Métaboles?)
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