Si vous voulez "promouvoir" des morceaux selon vous très réussis mais dans l'ombre de chefs-d'oeuvre incontournables, c'est ici qu'il faut les placer...
Je commence par ceci:
Si vous voulez "promouvoir" des morceaux selon vous très réussis mais dans l'ombre de chefs-d'oeuvre incontournables, c'est ici qu'il faut les placer...
Je commence par ceci:
Voici une vidéo postée récemment sur YouTube :
(Camille Saint Saëns, Rapsodie bretonne, Op 7 bis)
Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo David Robertson, conductor
Cela me semble poétique, évocateur et d'une écriture peut-être assez simple mais belle.
IP
Une bagatelle...
et une autre
quand Beethoven s'amuse en étant très sérieux
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Bach baroque dans une des premières acceptions du terme
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Tiré de la "couronne de chansons pour voix de basse" de Loewe
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Je ne crois pas qu'on connaisse beaucoup ces études de Prokofiev ; ici dans la version dans laquelle je les ai découvertes
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Pas le plus connu des lieder de Schubert, avec une pensée pour Jörg Demus
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Cette chanson harmonisée par Copland n'aura aucune palme d'or en raison de son texte misogyne et spéciste
Dernière modification par lebewohl ; 20/05/2019 à 21h45.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Un Demus en valant un autre, voici une petite Allemande où Mozart se prend pour Bach :
(Mozart - Suite KV.399 - Allemande - Demus)
IP
Mozart se prend pour Bach.
Quelle audace. Ces petits jeunots ne se prennent vraiment pas pour rien.
L'adéquation entre C.D. Friedrich et son Voyageur contemplant une mer de nuages, et cette bluette de Mozart est parfaite.
Si ça se trouve Mozart connaissait Bach, on voit tellement de choses bizarres.
Demus avait le chic pour jouer des choses pas trop connues, en plus des tubes!
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Tout d'abord, pour dissiper toute équivoque, je précise que je considère bel et bien comme un bijou l'Allemande de Mozart que j'ai citée plus haut. Quand je disais que Mozart s'y prend pour Bach, c'était une de ces innocentes familiarités que les grands esprits se permettent l'un envers l'autre.
Bagatelle pour bagatelle, voici une pétillante Gavotte Pompadour d'un certain Henri Verley (1823-?), parfaitement oublié. Le son n'est pas extraordinaire, mais on fera avec ce qu'on a.
(Henri Verley: Gavotte Pompadour, Op. 18)
Phillip Sear plays a sparkling gavotte from 1872 by the talented but obscure French composer and pianist Henri Verley (1823-?)
Comme il arrive souvent quand on flâne sur la toile, comme on flânait dans les dictionnaires, en cherchant autre chose, je trouve quelque chose ; pas vilain, si?
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
[QUOTE=lebewohl;134464]Je ne crois pas qu'on connaisse beaucoup ces études de Prokofiev ; ici dans la version dans laquelle je les ai découvertes
belle étude op.2 de Prokofiev je trouve aussi. Et déjà très caractéristique!
En passant un très beau disque pour sortir des sentiers battus avec deux pianos bosendörfer...
Défendre la "splendeur du piano français" de la fin du XIX° sur des Bösendorfer, c'est tout à fait judicieux ! Quand il y a de si beaux instruments français de l'époque, même déjà lorsque Corre/Exerjean enregistraient ...
Mais c'est en effet un joli disque.
C'était une boutade - comme on dit à Dijon !
Ah, voilà ! Celui sans qui tant de choses n'eussent pas été possibles ! (enfin, si ce n'avait été lui, c'eût été un autre !)Sur piano Erard:
Il y a actuellement 1 utilisateur(s) naviguant sur cette discussion. (0 utilisateur(s) et 1 invité(s))