On pourra ici parler de Bourdieu, d'Adorno, de Khrennikov, mais je commencerai par ça
On pourra ici parler de Bourdieu, d'Adorno, de Khrennikov, mais je commencerai par ça
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Quelque chose de plus vraisemblable : dans Le choix des armes, Depardieu conduit une voiture qui n'est pas la sienne. La radio fait entendre de la musique chorale (classique). Depardieu : "Comment on arrête cette merde ?"
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Ça, ce n'est pas Depardieu. C'est le personnage qu'on a demandé à Depardieu de jouer.Depardieu conduit une voiture. La radio fait entendre de la musique chorale (classique). Depardieu : "Comment on arrête cette merde ?"
Depardieu est tout autre. Si l'on veut bien s'intéresser à l'homme.
Ça, c'est vraisemblable.dans Le choix des armes, le personnage interprété par Depardieu conduit une voiture qui n'est pas la sienne. La radio fait entendre de la musique chorale (classique). Le personnage que joue Depardieu : "Comment on arrête cette merde ?"
"La conversation permet, et même exige, sous peine de faire encourir la qualification de pédant, une infinité d'ellipses"
https://books.google.be/books?id=PFxh_JLMHf8C&pg=PA127
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Il n'y a pas que Depardieu à jouer un personnage....
Et si on m'objecte que ma première citation ne concernait que le langage parlé, voici sur l'écrivain Paul Morand :
"par son style (...) où les raccourcis le disputent aux ellipses. Un style à rendre fou un pédant de collège"
https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp...1bee5fdcf8.pdf
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