Et novembre de Tchaikovski, toujours par Pletnev
Et novembre de Tchaikovski, toujours par Pletnev
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Quelques disques parus cet automne
Vladimir Stoupel
Rathaus & Shostakovich, Piano Sonatas
Cavi AVI 8553481
“Although Karol Rathaus (1895-1954) and Dmitri Shostakovich (1906-1975) were contemporaries, they could hardly have led more different lives. Both biographies nevertheless exemplify the 20th century with its catastrophes, persecutions and destruction, and it is thus worthwhile to feature their music together in the same program.
Born into a Polish Jewish family in Ternopil (then part of Austria-Hungary), Karol Rathaus started composing at a very early age. He was accepted into the Vienna Academy for the Performing Arts and Music in 1913, but his studies were suddenly interrupted by the onset of World War I: for the next four years, he would have to serve in the Austrian army. As one of Franz Schreker’s favorite students, he followed Schreker to the Hochschule für Musik in Berlin, where he passed the entrance exam with flying colors with his First Sonata for Piano in C Minor, op. 2 (1920). The Vienna publishing house Universal-Edition published the sonata and signed a ten-year contract with the young composer. This marked the beginning of the quasi-meteoric rise of Karol Rathaus, whom prominent German critics were starting to hail as “New Music’s greatest hope” (Walter Schrenk).………
In December 1926, 20-year-old Dmitri Shostakovich presented his 1st Piano Sonata, op. 12, to the public in Leningrad. Certain parallels with Rathaus’s 3rd Sonata are striking: driving momentum, rapid changes of mood, a complex and technically challenging piano texture, free tonality, and a bustling metropolitan mood. In Shostakovich’s sonata we additionally encounter a series of clusters along with a grotesque aspect….” (Excerpt from the liner notes by Vladimir Stoupel)
Karol Rathaus
Piano Sonata No. 1 in C Minor, Op. 2
1. I. Grave e maestoso 11:09
2. II. Lento con espressione 09:35
3. III. Scherzo. Presto 5:20
4. IV. Finale. Grave – Allegro energico 5:54
Piano Sonata No. 3, Op. 20 (premiere recording)
1. I. Langsam 7:10
2. II. Scherzo. Presto 4:46
3. III. Fuge. Andante con Moto 7:24
4. IV. Presto 5:03
Dmitri Shostakowistch
Piano Sonata No. 1, Op. 12
9.Allegro 13:25
Piano Sonata in B Minor No. 2, Op. 61
10.I. Allegretto 7:05
11.II. Largo 9:37
12.III. Moderato 17.37
The Happiest Years
Genuin GEN20711
Eduard Erdmann: Sonate für Violine solo, op. 12,
Artur Schnabel: Sonate für Violine solo
Judith Ingolfsson, Violine;
Aufnahme 2019, Veröffentlichung 06/2020 (65'05) – Rezension von Uwe Krusch
Artur Schnabel was an extraordinary figure as a pianist and is still known today.
His far less cherished compositional work can now be heard in the Sonata for solo violin.
The work is, like his entire oeuvre, characterized by a radical personality.
Schnabel directed his interest towards differentiation in tempo and dynamics.
His sonata can be seen as a continuously changing stream without repetitions.
He was also an older friend and mentor of the other composer of this recording,
Eduard Erdmann.was also praised for his pianistic abilities.
Stylistically, Erdmann could not make friends with the musical innovators of his time.
He developed his personal expression in the solo sonata for violin.
Unconditional linearity and single-mindedness in harmony create a peculiar polyphonic world.
Only a handful of violinists have these works in their repertoire, and the recording of the Schnabel Sonata by Christian Tetzlaff was also made a quarter of a century ago. The Erdmann Sonata is a world premiere recording
Judith Ingolfsson plays with a crystal clear, transparent sound, which nevertheless makes the music sound alive. With 45 minutes, the Schnabel Sonata is certainly the most challenging of these two works in terms of concentration and creative requirements.
Ingolfsson’s performance is effortless, straightforward and also explores the subtleties along the way.
A discovery well worth listening!
Artur Schnabel Sonata for Violin Solo 37:33
1.I. Langsam, sehr frei undleidenschaftlich 9:24
2.II. In kräftig-fröhlichemWanderschritt, durchweg sehr lebendig 3:10
3.III. Zart und anmutig, durchausruhig 2:22
4.IV. Äußerst rasch 6:39
5.V. Sehr langsame Halbe, mitfeierlichem ernstem Ausdruck, doch stets schlicht 15:58
Eduard Erdmann: Sonata for Violin Solo, Op. 12 18:28
6.I. Ruhig - Fließend - Ruhig 7:48
7.II. Allegretto scherzando - Trio.Einfach, wie eine Volksweise 4:17
8.III. Langsam 2:39
9.IV. Lebendig 3:44
Claude
Claude Torres
http://www.musiques-regenerees.fr/
Bonjour Claude,
je pense que votre dernier "post" serait plus à sa place dans "actualité musicale", sauf si les oeuvres proposées ont pour thème ou occasion l'automne (ce qui n'apparaît pas nettement).
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Claude Torres
http://www.musiques-regenerees.fr/
Merci à Philippe
Comment supprimer l'original ?
edit Phil : Claude, pas nécessaire, on peut laisser tout comme ça, ça ne gênera personne
Claude Torres
http://www.musiques-regenerees.fr/
Ici à Valencia c'est le ciel qui nous est tombé sur la tête !!!
Hier ou avant-hier des pluies torrentielles ont laissé tomber plus de 60 litres par mètre carré en une heure. Depuis mercredi soir, ce sont près de 160 litres par mètre carré qui nous sont tombés dessus, selon les données fournies par l'Agence météorologique nationale. Il paraît que cela fait 40 ans que Valencia n'avait pas vu cela !
Alors voilà je ne résiste pas ... je sais que ce n'est pas le répertoire habituellement pratiqué ici mais bon ... c'était l'occasion ou jamais ...
Et puis finalement ce sont de bons musiciens, aussi, non ?
Guns N' Roses - November Rain
(et merci à ceux qui auront le courage de regarder le clip jusqu'à sa fin )
Est-il permis d'écouter le clip sans le regarder? C'est que j'avais autre chose à faire, et ma foi j'ai trouvé ça pas mal du tout!
Question subsidiaire: ai même pas cherché à comprendre les paroles; ça vaut le coup d'y aller voir?
Selon cet extrait de la fiche Wikipédia consacrée à ce titre : « L'histoire tragique racontée par le clip de la chanson n'est pas directement reliée au sens des paroles de la chanson, qui évoquent la capacité à surmonter les moments difficiles dans une relation amoureuse. La vidéo montre Axl Rose et sa petite amie d'alors, Stephanie Seymour, devant un prêtre qui les marie, en alternance avec des passages de performance en live dans une salle de spectacle. À la fin du clip, la pluie ravage le mariage, qui se transforme alors progressivement en enterrement de la mariée, cette dernière ayant commis un suicide. (...) Pour les scènes en extérieur où Slash joue le premier solo de guitare, Axl Rose avait à l'origine envisagé qu'elles soient tournées dans un champ. Cependant, comme le clip a été tourné en hiver, il n'y avait pas de beaux champs aux environs, et le groupe a finalement décidé d'utiliser une église au Nouveau-Mexique. Par pure coïncidence, il s'agit de la même église que celle que l'on voit dans le film Silverado.
Le prêtre dans le clip, un Italien appelé Gianantonio, est un ami d'Axl Rose. L'église utilisée pour les scènes d'intérieur est celle où ce prêtre avait effectué certains de ses derniers services huit ans avant le tournage du clip, ce que le groupe ignorait.
(...) Comme l'indique la fin du clip, celui-ci s'inspire de la nouvelle Without You de Del James, qui se trouve dans le livre de James intitulé The Language of Fear, paru en 1995. Elle raconte la déchéance d'une ancienne rock star, qui se remémore divers épisodes d'une relation amoureuse se terminant par le suicide de la femme avec une arme. Dans la nouvelle, le couple n'est cependant jamais présenté comme marié. »
À mon sens le clip est à voir, à coup sûr
Bon maintenant ... en ce qui concerne les paroles elles-mêmes, je suis bien trop médiocre anglophone (<- euphémisme ) pour pouvoir apprécier la qualité et la joliesse d'un texte dont la prétention est visiblement poétique ; mais j'ai trouvé cette autre vidéo, malheureusement en plan fixe, qui présente le texte original en anglais ET sa traduction en français. Ça peut aider à se faire une idée
Avec mes remerciements à Jean-François Zygel pour les idées suivantes, que je n'aurais jamais eues tout seul :
Django Reinhardt
Glazounov par Ansermet
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Et aussi Albeniz, trois automnes, deux par Rena Kyriakou et un par Antonio Ruiz Pipo (des noms qui rajeuniront les vieux auditeurs de France Musique...)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Et Cécile Chaminade par Takashi Sato
et Diepenbrock (jamais entendu parler mais c'est plutôt pas mal!) par Gronostay (par hasard, c'est le 12e anniversaire de la mort de Gronostay)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Bon celle-ci est déjà passée, mais apparemment le titre original est "automne", et voici un arrangement de et par Michel Legrand
et un numéro des Soirées d'automne de Donizetti, par Carlo Bergonzi
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Honegger et Apollinaire
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Je ne crois pas que November Woods de Bax ait déjà été proposé
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Il y a actuellement 1 utilisateur(s) naviguant sur cette discussion. (0 utilisateur(s) et 1 invité(s))