Aujourd'hui 1er décembre, c'est le début de l'hiver météorologique.
Commençons donc par les mêmes incontournables!
Vivaldi par Biondi
Tchaikovsky par Pletnev
Haydn par Schuldt-Jensen
Aujourd'hui 1er décembre, c'est le début de l'hiver météorologique.
Commençons donc par les mêmes incontournables!
Vivaldi par Biondi
Tchaikovsky par Pletnev
Haydn par Schuldt-Jensen
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Bon évidemment, le Voyage d’hiver de Schubert, ici par Hotter (mais sa première version, avec Raucheisen)
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Debussy, « des pas sur la neige »par Arrau
Du même, « colloque sentimental » par Véronique Dietschy
et « Yver vous n’estes qu’un villain » par le choeur de la NDR
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Tchaikovsky de nouveau, la 1ère symphonie « rêves d’hiver » par Svetlanov
et tout Casse-Noisette, mais notamment la valse des flocons de neige, ici par Dorati
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Prokofiev, maintenant ; je ne connaissais pas le Bûcher d'hiver!
mais la bataille sur la glace, si!
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
C'était un début. Je suggère qu'on attende Noël pour les musiques de Noël (consigne que j'ai enfreinte dès le début avec le Décembre de Tchaikovski). Toute tentative de poster "Petit Papa Noël" se traduira par un bannissement perpétuel, un anathème majeur et diverses autres sanctions.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
Pour Tchaïkovsky, il n’y a que Svetlanov qui vaille.Tchaikovsky de nouveau, la 1ère symphonie « rêves d’hiver » par Svetlanov
Peut-être à l’extreme rigueur quelques autres Russes. Des anciens. Et encore.
Comme ‘Casta diva’ et Callas et les Goldberg et Gould.
John Cage, Winter Music
Kronos Quartet, Winter Was Hard
George Benjamin, A Mind of Winter
Et puis il y a aussi cette petite chose, d'un artiste que je n'apprécie pas spécialement mais il y a ici une sorte de charme suranné, de nostalgie …
Gérard Lenorman, Les Matins d'hiver
Je reconnais bien là votre esprit critique!
Je n'ai aucune idée, à dire vrai ; je ne connais pas bien Svetlanov et pas du tout les 3 premières symphonies de Tchaikovsky ; les trois dernières m'ont été révélées par Mravinsky, et à un moindre degré Sanderling. Avant, je les connaissais, par exemple, par Karajan et je détestais ça (je précise que j'adore Karajan dans plein d'autres répertoires). Comme je n'ai pas trouvé Mravinsky dirigeant les Rêves d'hiver, j'ai choisi un Russe assez valeur sûre, ç'aurait pu être Rojdestevensky, pour ne citer que lui, s'il était arrivé premier dans la liste.
J'adore Casta Diva par Callas, mais aussi par Tebaldi, par exemple. Un autre genre. Et comme beaucoup j'ai découvert les variations Goldberg par Gould au début des années 80, je ne renie pas, mais j'en préfère plusieurs autres aujourd'hui.
J'essaie de choisir une version que je connais et que j'apprécie, mais je cherche surtout à trouver des oeuvres. Quelquefois la seule version que je trouve est un peu "naze". C'est surtout vrai pour des mélodies ou des lieder un peu moins connus que le Voyage d'Hiver.
C'était la minute méthodologique!
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
ah ben c'est très bien ; je n'étais même pas allé chercher, comme je disais je ne suis pas très connaisseur! bon je l'ai piquée sur youtube, du coup!
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
(Schumann: Zwölf Gedichte, Op.35 - Erstes Grün)
Wolfgang Holzmair · Imogen Cooper
Fin d'hiver ou début de printemps ?
"Du junges Grün, du frisches Gras!
Wie manches Herz durch dich genas,
Das von des Winters Schnee erkrankt,
O wie mein Herz nach dir verlangt!"
Pas du tout, c’est la marque de mon esprit chagrin et tortueux, j’en sais pour ici en attester.
Non, ce n’est pas du tout votre choix que j’égratignais, c’est très généralement ce ´genre’ qu’on rencontre parfois « Ah ma pôv’ dame, depuis un/e tel/le, on ne sait plus chanter/jouer ça comme il faut ».
Pour reparler de Piotr Ilitch, je trouve que des gens de maintenant chantent, jouent, dirigent largement aussi bien que les irremplaçables d’autrefois.
Parenthèse fermée, vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver, vous avez tous encore plein de belles choses hiémales à poster !
(JOAN BAEZ ~ Pauvre Ruteboeuf ~)
"Avec le temps qu'arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n'aille à terre"
Le texte est un tripatouillage de poèmes de Rutebeuf opéré par Léo Ferré. C'est ce tripatouillage que plusieurs sites Internet donnent comme le poème de Rutebeuf, avec même un vers "Au temps d'hiver" qui ne rime à aucun autre. (Au temps de Rutebeuf, on ne faisait pas rimer "hiver" avec "atterre" ni avec "guerre".)
Pour la partie du tripatouillage empruntées à la Complainte Rutebeuf, voyez :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k27835x/f77.item
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k27835x/f82.item
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k27835x/f83.item
Pour la partie du tripatouillage empruntée à la Griesche d'hiver, voyez :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k27835x/f90.item
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k27835x/f91.item
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k27835x/f92.item
Debussy, Children's Corner, The Snow is dancing :
Queen, A Winter's Tale
(Pauvre Rutebeuf)
Nana Mouskouri
Nana Mouskouri a été plus bégueule que Joan Baez : à 2:47, elle a remplacé "et droit au cul" par "et droit sur moi".
L'hiver de Vivaldi (premier mouvement) au piano :
(Vivaldi - Winter (The Four Seasons))
Chaîne Rousseau.
IP: (Au temps de Rutebeuf, on ne faisait pas rimer "hiver" avec "atterre" ni avec "guerre".)
Ben oui. Qui distingue encore voyelles longues et voyelles courtes? Quand j'entends parler certaines jeunes personnes, j'ai l'impression d'un souffle court.
Heureusement qu'il nous reste des documents sonores de l'existence passée de voyelles longues dans la langue de... Barbara? (ll pleut sur Naaaantes)
En musique cela persistera tant qu'on saura faire la différence entre une blanche et une double croche, non?
Dans la langue parlée en revanche... j'ai encore connu de vieux Parisiens qui parlaient de démonstrâââtion mais c'est pratiquement fini.
C'était une digression.
Il s'engendre beaucoup d'abus au monde ou, pour le dire plus hardiment, tous les abus du monde s'engendrent de ce qu'on nous apprend à craindre de faire profession de notre ignorance.
Montaigne
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